La nature de par sa complémentarité, regorge de pleins de mystères et d’incompréhensions suivant l’origine de chaque individu ou même de chaque être vivant. Parler de personnes ou d’animaux, requiert au préalable d’une idéologie universelle et quelquefois d’un schème de compréhension ou d’ajustement, selon l’environnement dans lequel on peut se trouver. De ce fait, la cohabitation d’avec les animaux devient plus que naturelle, suivant un processus environnemental visant à protéger notre écosystème qui est en mal de devenir un cataclysme de déclinaison d’une faune et d’une flore très fragilisée.

La protection de certains animaux devient à ce moment une priorité, non pas simplement pour les écologistes mais également pour l’humanité. La chasse grossière des lions en Afrique au Sud du Sahara, en est l’une des causes principales de cette dégradation malsaine de notre environnement.

Un plaisir qui finit par entraver une nature qui ne demande qu’a être respectée

Tout le long des ranchs, l’on peut parfois assister à des ventes aux enchères d’animaux qualifiés de trophées ou d’acquisitions personnelles. Cette affaire florissante durerait depuis un bon nombre d’années, mais son ampleur n’avait pas encore été aussi grandiose depuis l’organisation de la chasse aux lions dans la savane, selon les organisateurs de cette tuerie malsaine.

Les lions, animaux féroces à la crinière et au pelage reluisant et doux, sont devenus pour ainsi dire, un bizness florissant dans cette zone de la savane en Afrique sub-saharienne ou bon nombres de touristes ou d’amateurs de sensation fortes, viennent faire évaluer leur testostérone en s’offrant le plaisir de prendre en chasse des animaux innocents.

A cet instant, tous les moyens sont mis en œuvre pour avoir un cheptel d’animaux mis à la disposition de ces futurs acheteurs. Les chasseurs présumés, viennent du monde entier et compte parfois quelques célébrités tels : Valérie Giscard Destein ancien chef d’état français sous la 5e république, Le roi D’Espagne (qui a posté une photo en ligne avec son trophée un éléphant mort qui fera une polémique dans le mode entier).

Ces éleveurs friands d’argent n’hésiteraient même pas à croiser des animaux aux gènes communs qui donneraient des lionceaux avec une consanguinité malsaine ou des organes mal formés. D’autres ayant élevés ces lions depuis leur naissance, tisseraient des liens affectifs avec ces animaux au point ils les drogueraient avant une supposée chasse programmée. Les associations de protection des animaux et de la nature, malgré leur manifestations et leur revendications, n’ont pas pu faire changer les mentalités, car par exemple en Afrique du Sud ou se trouve le « Lion Park », le directeur et les employés ne laissent aucune information sur l’achat ou les ventes de ces animaux qui pourtant dans le reportage ; Chasse :Main basse sur la savane diffusé sur Canal+,l’on peut entrevoir des animaux mal nourris, maltraités, et un gouvernement amorphe face à ce désastre, car qualifié de pauvre et assujettis au profit récolté.

En effet, un lion tué pourrait valoir 15000 Euros et la femelle elle, pourrait varier autour de 8000 euros. Suite à cette conséquence inhumaine, que représente réellement l’argent face à cette dégradation de la nature ? Tous ces sommets organisés pour la protection de l’environnement, devraient se pencher sur ces cas flagrants qui ne cessent de grandir et n’engloberaient par particulièrement la chasse des lions, mais de nombreux autres animaux mis en péril. Comme dirait un habitant du Cameroun (dont l’emblème sportif représente toujours le lion qualifié d’indomptable), un lion ne meurt jamais il dort juste, signifiant ainsi son invincibilité et sa particularité.