Vous n'êtes sûrement pas passés à côté ! La Women's March largement médiatisée dans les journaux mainstream a eu un retentissement international. Et c'est tant mieux ! Car les lois liberticides de Trump sont dangereuses pour les femmes et leurs droits fondamentaux tels que le droit d'avorter, l'accès au "planning familial", etc. Mais aussi "tout ce que représente Trump", c'est-à-dire sa volonté de construire un mur entre le Mexique et les USA, ou encore user de la torture pour faire parler, son côté milliardaire méprisant les pauvres, le retrait de l'Obamacare.

Toutes ces femmes se sont levées pour dire ce qu'elles pensaient. Relayée par les stars tels que Kendall Jenner, Katy Perry (qui appelait à la révolution il y a peu), Ashley Graham (fervente activiste de la body positivity), SoKo, et bien d'autres. Notons le discours très remarqué de la magnifique Scarlett Johansson ! (vidéo ci-joint). Admirable ! Les stars et le peuple unis contre leur Président qui sera au pouvoir pendant plusieurs années. Je ne peux que saluer la démarche, bien que j'ai remis en cause le féminisme 2.0 et radical ici. Voici pour les bons aspects.

Les problèmes de la marche

Parmi les gros problèmes notables, nous pouvons retrouver un point essentiel. En effet, fort de son succès, et comme souvent lors des mouvements humanitaires...

nous pouvons remarquer un financement douteux de George Soros. Le milliardaire a en effet versé des dons très importants aux partenaires de la manifestation tels que MoveOn.org ou encore NAACP ((L’Association Nationale pour la Promotion des Gens de Couleur) qui a reçu de cette dernière 250 000 dollars en 2011 ! Ainsi, nous pouvons nous demander quelle est sa légitimité ?

Quel est l'intérêt de faire une marche dite "humanitaire", en faveur des droits fondamentaux de chacun si la finalité est de recevoir des dons du corrompu et controversé Georges Soros.

Aussi, certaines manifestantes s'acharnent à dire que Trump est un violeur en puissance, puisque accusé d'avoir abusé de plusieurs femmes par le passé, et ce, durant sa campagne présidentielle. L'infamie a été commise, pour décrédibiliser le candidat. Comme la fameuse affaire du #Pizzagate dans le camp Clinton. Personne n'est en reste.