Le centre de commerce extérieur et de relations extérieures (CCERE) par ses diverses activités de prévention, d’accueil, de soutien juridique et d’intégration stratégique, soumet en général les potentiels investisseurs dans leurs démarches administratives au Cameroun. Dans son optique de développement et d’échanges économiques, le CCERE dont la principale action reste l’émulation de ses données structurelles et techniques, astreint les futurs acteurs de ce pan d’évolution à croître les relations diplomatiques entre les concernés. La parité pour un équilibre des relations entre pays de la sous-région et certains investisseurs étrangers, amorce ainsi cette capacité qu’a ce centre de pouvoir intégrer cette diplomatie extérieure.

Le directeur de cette institution en la personne d’Ibrahim Zakari, se prononce régulièrement dans les médias afin d’élargir une communication globale au demeurant des échanges économiques commis. Le Cameroun, dont la croissance ne cesse de se diversifier aux vues de son ouverture au monde, pressent le CCERE comme une nouvelle dynamique structurelle pouvant interférer entre les membres de la CEMAC (communauté économique et monétaire d’Afrique centrale) et les futurs investisseurs venant du monde entier.

L’accompagnement stratégique, pénale, et diplomatique permet également d’ouvrir une sorte de consortium de procédures de facilitation des échanges et de restitution des données utiles à l’élaboration des partenariats.

Ibrahim Zakari, dont la carrière aura été des plus impressionnantes dans l’administration de son pays, cumulera de nombreux postes clés dans la diplomatie (Consul honoraire de Mauritanie) et se verra même offrir la récompense d'Officier de l’Ordre du mérite camerounais. Pour cet acharné de relations bilatérales, le CCERE représente unilatéralement un motif de croissance et de développement pour l’Afrique et le reste du monde.

Le CCERE ou l’avènement d’une plus-value entre investisseurs

La croissance économique de l’Afrique se fait de plus en plus répertorier dans le clivage du commerce mondial, grâce aux échanges qu’elle s’évertue peu à peu à transformer. Menée régulièrement par des accords de partenariats, les relations entre ces différents propulseurs de partages sectoriels, se voient parfois accorder de nouveaux éléments dans l’émulsion de ses échanges.

Le Cameroun, dont les réalisations stratégiques et logistiques sont en pleine mutation, représente en Afrique centrale l’une des principales sources de développement dans plusieurs secteurs d’investissements. Le président de la république, son excellence Paul Biya, dans un dynamisme d’ouverture et de stabilisation des relations extérieures et locales a accueillis il y’a quelques mois, le forum international « Investir au Cameroun ».

Les acteurs de l’économie venant de toutes les régions du monde ont pu découvrir tour à tour les différentes propositions de l’ensemble du territoire national. Les secteurs de développement allant de la production du Bois, le secteur de l’épargne, celui de l’agro-alimentaire, du pétrole, du cacao, des TIC (techniques de l’information et de la communication) entre autres aura permit à ces différents promoteurs de partager et de découvrir ces facteurs de développement.

Une approche particulière accordée par le CCERE, institutionnalise les différents échanges

La construction du barrage de Memvelé, la construction du port en eaux profondes du port de Kribi, la construction du barrage de Lom Pangar, la construction des autoroutes à sens uniques, celui des échangeurs dans les grandes villes, des stades et de nombreuses industries met évidemment le Cameroun en grand chantier. Ces innovations novatrices instituées sous le haut patronnât du chef de l’État son excellence Paul Biya, inverse totalement cette courbe de la croissance du pays dans son optique de développement. La relation entre le centre de commerce extérieur et de relations extérieures, et les différents investissements pressentis apporteront inéluctablement un réveil des échanges stratégiques et sécuritaires dans les diverses activités essentielles aux échanges économiques.

Les pays tels que le Rwanda dont la croissance ne cesse de fléchir, aura misé sur les industries locales en produisant localement et en signant des accords avec des investisseurs voisins, atteignant ainsi un niveau 10 fois supérieur en quelques années. Le CCERE dans le même but d’élargir ses partenariats permet de réguler les accords et de faciliter les échanges autant sur le plan administratif que légal. A travers son site internet, l'on peut retrouver toutes les mesures nécessaires à chacun des domaines sus cités.