Le CCERE (centre de commerce extérieur et de relations extérieures) agit en général dans le cadre de la préservation et l'accompagnement des entreprises, en vue d'obtenir une facilitation de leurs démarches. Le directeur de ce centre privé camerounais en la personne d'Ibrahim Zakari intervient quant à lui pour la résolution, l'accompagnement et le suivi de nombreux litiges. Dans le but d'assainir le milieu professionnel des entreprises ou le monde des affaires, ce directeur dynamique a mis en place une solide équipe pour l'accompagner dans ses démarches pour l'Afrique et même le monde entier.

VODAFONE-Cameroun (filiale camerounaise du groupe néerlandais AFRIMAX, propriétaire de ladite entreprise) et ses divers partenaires en république du Cameroun ont convoqué le CCERE qui s'est constitué en conseil stratégique à cet effet et se voit faire ce communiqué à l'attention des institutions et de la presse nationale et internationale.

Face aux divers risques et dangers générés par l'action de la société AFRIMAX, VODAFONE-CAMEROUN, l'état du Cameroun et les divers acteurs économiques camerounais, partenaires de bonne foi à ce projet, ont décidé de prendre des mesures diverses. Ceci afin non seulement de préserver la sécurité nationale et l'ordre public, mais aussi à sécuriser juridiquement et économiquement les investissements faits par les entrepreneurs camerounais entrés en commerce de bonne foi avec cette entité dont les actions, après plusieurs enquêtes et plaintes se sont avérées douteuses et susceptibles de causer d'importants préjudices nocifs à l'intérêt général et aux intérêts particuliers de plusieurs natures ( Investisseurs nationaux, Banques, Employés fournisseurs...).

Tout cela concourant au commerce juridique dans cette affaire.

De l'illégalité des actions D'AFRIMAX

Les faits constitutifs de l'illiceité et de l'illégalité de l'action au Cameroun de la filiale AFRIMAX à travers la firme Vodafone-Cameroun, qui violent non seulement les principes internationaux en matière de financement et d'investissement internationaux, mais aussi la législation et la règlementation nationale dans son secteur d'activité.

Au niveau international la firme AFRIMAX s'est trouvée incapable de respecter les diverses exigences de transparence sur l'origine des capitaux investis illégalement en république du Cameroun. Au niveau nation on a fait suite à la violation des normes législatives et réglementaires camerounaise en relation aux régimes d'établissement et d'exploitation des réseaux et fourniture des services de communication électronique.

Ici par le rachat d'une licence attribuée à une autre entité à savoir Northwave SARL, se refusant de solliciter une licence en son nom propre, la cession de licence étant interdite.

Les enjeux économiques de l'état du Cameroun face aux Actions d'AFRIMAX

la société AFRMAX a opté pour un choix illégal, précipité et suspect. Pourtant l'état du Cameroun à travers plusieurs facilités juridiques, économiques, politiques, et diplomatiques incite l'installation en terre camerounaise d'investisseurs étrangers sur son territoire en y développant des dispositifs novateurs et incitatifs de diverses natures. Dans ses relations avec les partenaires nationaux, du secteur des Télécoms et du monde des affaires, AFRIMAX-VODAFONE-CAMEROUN, a été accusée par tous les acteurs du secteur (Orange, MTN, CAMTEL et VIETTEL) de concurrence déloyale tout en violant les termes des accords contractés avec ses partenaires du monde des affaires par des abus graves et le non respect d'obligations.

Ces affaires étant pendantes devant les juridictions pénales, civiles et militaires camerounaises.

De l'inanité des actions d'AFRIMAX, VODAFONE-AFRIMAX face aux enjeux de l'emploi et de la sécurité sociale

dans sa politique liée à l'emploi et à la sécurité sociale de ses employés dont la majorité est constituée de jeunes parfois surqualifiés, AFRMAX-VODAFONE-CAMEROUN, dans son fonctionnement illégal, n'a pas respecté ses divers engagements tout en violant les normes relatives au Droit du travail et de la sécurité sociale, appelant à un rappel du gouvernement de la république à travers l'action du Ministère du Travail et de la sécurité sociale. De plus elle a procédé à la mise en chômage d'un grand nombre de jeunes diplômés dans le non-respect des normes du travail suscitant ainsi les germes d'une instabilité sociale, et générant des actes constitutifs de troubles à l'ordre public dans les lieux de rassemblements de ces derniers.

Ceux-ci réclamant leurs droits violés par leur employeur agissant dans l'illégalité.

Des menaces transnationales générées par des actions d'AFRIMAX-VODAFONE sur les plans Politico-stratégiques et sécuritaire

Au niveau Stratégique et sécuritaire, les violations des normes de transparence sur l'origine des capitaux suspectés de provenir de sources criminelles à travers le blanchiment des capitaux qui font peser de forts soupçons de financements d'activités illicites, transnationales et du terrorisme faisant l'objet d'enquêtes diligentées par les services de la Police Judiciaire et des forces de polices internationales.

A l'heure actuelle le président du groupe AFRIMAX serait en fuite et d'autres faisant l'objet d'enquêtes et de mesures d'interdiction de sortie du territoire national.

Le Directeur général et Financier sont aussi visés par la justice dans la perspective d'y voir clair dans cette affaire pour agir dans le sens de la préservation de l'intérêt général et des intérêts particuliers mis en cause.

Comme Ampliation nous aurons : MINPOSTEL, MINDEF/SED, MINTSS, DGSN/DPJ, ART, CONAC, ANIF, INTERPOL, REPRESENTATION UNION EUROPEENNE, HAUT-COMMISSARIAT DU ROYAUME-UNIS, CONSULAT HONORAIRE DES PAYS BAS, organes de presse nationales et internationales.

Fait à Douala le 11 Novembre 2017, Ibrahim Zakari.