Est-ce cette perspective tragi-comique d'être les dindons de la farce qui a poussé, Unai Emery, le coach humilié de la tristement célèbre Remontada, et, Nasser Al-Khelaïfi, le Président du Paris-Saint-Germain et PDG de beIN Media Group (autrement dit, accessoirement, le Grand Timonier de deux navires, aussi mal-portants et à la dérive, l'un que l'autre) à improviser un stand-up ? PSG: duo guignolesque, République des joueurs, et, Sarkozy, Calife à la place du Khélaïfi... Au final, à l'insu de son plein gré, le pauvre homme (ici, au sens figuré, cela va sans dire) a fini, comme un vrai métronome, par tant enchaîner les bourdes et amasser les casseroles que ce tintamarre a fini par sonner sa disgrâce au point qu'un mauvais génie a soufflé l'idée, à tort ou à raison, qu'un certain Nicholas Sarkozy, qui a déjà un rôle de Vizir non-officiel du PSG, se verrait, assez bien, avec l'aval de son ami l'Émir du Qatar, Calife à la place du Khélaïfi... Nasser Al-Khelaifi avait déclaré sur Europe 1, au sujet de sa possible succession par Nicholas Sarkozy : « Je pense qu’il a beaucoup de travail ! Je pense que le président Sarkozy n’a pas le niveau pour ça ».
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