C’est le rêve de n’importe quelle jeune fille. Se promener dans la rue, faire ses courses, participer à un événement… et être shootée par un photographe de façon totalement inattendue. Une fois la photo postée sur les réseaux sociaux, la magie opère… et la jeune fille devient mondialement connue. C’est exactement ce qu’Anok Yai, jeune américaine de 19 ans à la beauté envoûtante, vient de vivre.

Etudiante en deuxième année à l’université de Plymouth dans le New Hampshire, Anok participe à la « Homecoming party » de l’université de Howard à Washington le 21 octobre 2017.

Selon le journal The Boston Globe, la jeune femme est alors repérée par un photographe cherchant à prendre quelques clichés pour son compte Instagram TheSUNK. Il l’informe qu’il souhaite poster des portraits de personnes stylées, ayant un look pointu, et que lesdites photos peuvent très bien devenir virales.

Un conte de fées 2.0, vécu grâce à la viralité des réseaux sociaux

Anok se prête au jeu, amusée, et pose sous l’objectif. Elle n’imaginait pas que les photos exploseraient aussi vite sur les réseaux sociaux. Le photographe poste sur son compte le Dimanche 22 Octobre 2017 et à peine deux semaines plus tard, le cliché de la jeune étudiante compte plus de 16 000 mentions « j’aime » et 500 commentaires.

« Mon téléphone a commencé à vibrer rapidement et ce pendant très, très longtemps », dit-elle, « Au début, je pensais honnêtement que quelqu’un avait fait un meme de moi, ou quelque chose comme ça ».

Le compte instagram d’Anok explose également, atteignant aujourd’hui 72 000 admirateurs. Ces nouveaux abonnés taguent des agences de mannequins sur les posts de la belle étudiante pour attirer leur attention et les encourager à lui donner une chance.

Mardi dernier, Anok est contactée par trois prestigieuses agences qui lui proposent un contrat. Elle annonce hier, Mercredi 1 Novembre 2017, qu’elle accepte officiellement de collaborer avec Next Models. Un rêve devenu réalité pour cette étudiante en biochimie qui s’est toujours rêvée mannequin mais qui n’a jamais eu la confiance nécessaire pour démarcher les professionnels du milieu.

« C’est un rêve que j’ai toujours voulu, mais je n’étais pas sûre que cela puisse arriver », confie-t-elle a The Boston Globe, « Au début, je me demandais ce que tout le monde voyait en moi, car je ne le voyais pas vraiment ».

C’est un beau conte de fées 2.0 qui devrait nous apprendre à garder confiance et ne jamais douter.