Vingt-sept ans après sa première adaptation télévisée (diffusée par le ABC en novembre 1990), le célèbre roman de Stephen King "Ça" se fait peau neuve pour nous plonger dans nos frayeurs d'enfants. Annoncé par la Warner Bros depuis 2009, le film éponyme fait à son tour l'objet d'un remake comme d'autres classiques et s'offre les services du réalisateur Andrés Muschietti, connu pour le succès de son premier film d'horreur Mama (2013). Prêt à rejoindre la longue liste de films d'horreur de 2017, le remake prévu dans les salles françaises le 20 septembre prochain semble avoir déjà trouvé son public chez les nostalgiques de la génération 90.
La première bande annonce officielle mise en ligne par la Warner le 29 mars dernier fais d'ailleurs déjà parti des tendances Youtube. Cette bande annonce ne concerne que la première partie du remake, puisque à l'instar de la première adaptation de 1990, celui-ci sera divisé en deux parties. Dans cette version, le célèbre acteur Tim Curry laisse son costume de clown au jeune Bill Skarsgard, connu pour son rôle de Roman Godfrey dans la série Hemlock Grove. Effrayant à souhait dès les premières images, Skarsgard semble d'ores et déjà bien honorer cet héritage. De quoi rappeler aux fans de la première heures, leurs anciens cauchemars.
Mais qu'est-ce que « Ça » raconte ?
Dans la première partie, un groupe de sept enfants surnommé « Le club des ratés » se forme à la suite de mystérieuses disparitions d'enfants qui surviennent dans la ville de Derry, dans le Maine.
Les protagonistes du « Club des ratés » ont pour point commun de tous avoir croisé la route de « Ça », une entité maléfique venue des égouts capable de prendre n'importe quelle forme. Sa préférée est celle de 'Grippe-Sou', « le clown cabriolant » qui terrorise les enfants en venant titiller leurs peurs respectives. Ensemble, les sept enfants vont tenter de surmonter leurs crainte pour arrêter le clown 'Grippe-Sou'.
A l'origine de nos premiers cauchemars, « Ça » rentre dans la catégorie des classiques de films d'horreurs. Presque vingt ans plus tard, nous voilà prêt à frissonner encore devant ce clown maléfique et à adorer ça. Et puis, une fois en bas avec 'Grippe-Sou', nous flotterons tous.