L’épidémie de COVID-19 fait des ravages mondialement depuis déjà plusieurs mois. Nous vivons actuellement une des pires période de notre Histoire. Néanmoins, si la pandémie a déjà causé la mort de plusieurs millions de personnes à travers le monde dont plus de 90.0000 sur le territoire français, elle a aussi été désastreuse sur le plan social, économique et financier sur tous les continents. En France, beaucoup de secteurs d’activités sont touchés comme la restauration, les secteurs sportifs mais aussi le monde de la nuit et plusieurs millions de Français se sont retrouvés au chômage.
Pour essayer d’éradiquer au plus vite la pandémie, la science a mis au point des vaccins efficaces en un temps record. Si l'immunité collective devrait être atteinte prochainement en Europe, le vaccin AstraZeneca pose question. Les autorités sanitaires ont approuvé son utilisation, mais les français s'en méfient de plus en plus... D'autant plus qu'on a appris qu’un étudiant de 24 ans avait perdu la vie suite à sa vaccination. Une enquête est en cours...
⚡SUIVI - Décès d’un étudiant en médecine à #Nantes : « À ce stade, rien ne permet de faire le lien entre le décès et la vaccination » selon l'Agence nationale de la sécurité du médicament (ANSM). D’autres analyses sont en cours. Une enquête judiciaire est ouverte. (Ouest-France)
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) March 22, 2021
L’étudiant en médecine perd la vie brutalement
On le sait, le secteur de la santé et plus largement le secteur médical doit se faire vacciner en priorité et cela semble logique puisque sans le personnel de santé, la vaccination à grande échelle aurait été impossible.
Ce qu’on sait moins c’est que les étudiants en médecine font partie de cette hiérarchie sanitaire. C’est pour cela qu’un étudiant en médecine âgé de seulement 24 ans s'est fait injecter une dose d'Astra Zeneca afin de pouvoir pratiquer une profession sanitaire.
🇫🇷 FLASH - Un étudiant de 24 ans a été trouvé mort chez lui à #Nantes, 10 jours après avoir reçu une dose du vaccin #AstraZeneca. Une enquête est ouverte. « À ce stade, rien ne permet de faire le lien entre le décès et la vaccination », a indiqué un porte-parole de l’ANSM. (OF)
— Mediavenir (@Mediavenir) March 22, 2021
Malheureusement, on vient de l’apprendre, le jeune homme est mort dans les jours qui ont suivi sa première vaccination à cause d’une thrombose, une maladie extrêmement grave et douloureuse qui cause dans la plupart des cas une mort sur le court terme.
Les raisons de sa mort restent incertaines et ce cas fait l'objet d'une investigation clinique par les Centres régionaux de Pharmacovigilance (CRPV).
Décès suspect à Nantes d’un étudiant : la France doit suspendre #AstraZeneca et enquêter aussi sur les autres vaccins ! Comme la Finlande qui a suspendu récemment, comme les pays nordiques qui attendent une expertise sérieuse.
La santé avant leur fric ! https://t.co/HrBbLLYEVY
— Florian Philippot (@f_philippot) March 23, 2021
Aucun lien avec le vaccin ?
L’étudiant qui se prédestinait à passer les concours prestigieux de médecine a été retrouvé sans vie dans son appartement nantais.
Après une autopsie ayant duré plusieurs heures, les éléments de l’enquête sont formels : l’homme est décédé après "une hémorragie interne due à une thrombose".
Malgré tout, rien ne certifie que l’homme est mort à cause de la vaccination à l’AstraZeneca. D'autres hypothèses sont possibles. On sait par exemple que les étudiants dans le domaine de la santé sont les plus touchés par les dépressions et les envies de mettre fin à leurs jours. Cela s’est malheureusement confirmé avec le confinement et le début de la crise sanitaire.