La compétition qui est la plus suivie sur la planète a permis encore une fois aux amateurs de football de voir les meilleurs joueurs se mesurer pour l'honneur de leur pays. Le choix du Brésil pour le Mondial 2014 ne s'est pas fait sans difficultés. Les pays de l'Amérique du sud ont en effet soumis le Brésil comme candidature unique pour la zone, mais bien des frictions se sont déroulées antérieurement. D'abord, les Colombiens avaient fin une demande de candidature, mais devant la force du Brésil, ils ont reculé. Ensuite, la Bolivie voulait faire concurrence aux Brésiliens. Mais, les stades au-delà de 2500 mètres en altitude ont causé des problèmes. Plusieurs pays avaient même menacé de boycotter la Copa America et le Mondial d'Afrique du Sud trouvant cette règle discriminatoire.

Le logo du Mondial 2014 rappelle la statuette gagnée par l'équipe championne du monde. Les trois mains démontrent la partie humanitaire du tournoi et les couleurs sont celles du pays hôte. La mascotte du tournoi est « Fuleco ». Elle s'inspire du tatou à trois bandes, une espèce en voie de disparition. Son nom est le mélange du mot « futebol » et du mot « ecologia ».

Brésil 2014, un tournoi de premières

Le tournoi permet d'intégrer les technologies pour une première fois afin de s'assurer qu'un ballon a bien passé complètement la ligne de but. Dans tous les stades, sept caméras sont installées sur les filets pour obtenir les images et angles pour cette nouveauté. De plus, cette coupe du monde a popularisé l'utilisation du spray temporaire par les arbitres. Ces derniers pouvaient marquer la ligne des 9,15 mètres pour établir le mur protecteur lors des coups francs. De plus, comme le climat est extrêmement chaud, une pause fraîcheur est accordée aux équipes pour permettre aux joueurs de se reposer.

La compétition s'est tenue dans 12 stades à travers le pays. Les matchs de demi-finale ont permis de voir une Allemagne dominante. Elle a écrasé le Brésil 7 à 1. L'Argentine a battu les Néerlandais que plusieurs voyaient comme favoris. En finale, l'Argentine a soutenu le rythme, mais les Allemands étaient simplement trop forts.