Si l'émission TPMP est sujette à beaucoup de débats et de polémiques ces dernières semaines, on pourrait en vrac citer le clash de plusieurs semaines ayant opposé Eric Naulleau à Doc Gynéco, tous les deux chroniqueurs emblématiques de l'émission, mais aussi les polémiques sur les nombreuses menaces de mort qu'ont reçu les chroniqueurs suite à l'affaire Mennel, TPMP est aussi l'occasion de délivrer aux téléspectateurs de beaux moments d'émotion. Il y a quelques jours, les téléspectateurs ont ainsi vu Benjamin Castaldi fondre en larmes en évoquant ses fils, qu'il n'a pas pu voir grandir alors que l'homme commençait a devenir célèbre.
Il y a quelques jours, c'est aussi les larmes de Danielle Moreau qui ont fendu le cœur des fans, en évoquant le triste sort réservé aux animateurs de France 2. Et hier, c'est Gilles Verdez, chroniqueur emblématique de TPMP qui a été exclu quelques jours qui a souhaité revenir sur un moment douloureux de sa vie qui s'est passé il y a quelques heures. Alors que Benjamin Castaldi, exceptionnellement présentateur de l'émission, est revenu sur la mort d'Eugène Saccomano, journaliste et commentateur sportif, Gilles Verdez n'a pas pu retenir son émotion en évoquant la mémoire de son ami disparu.
Gilles Verdez dévoile que l'homme était son ancien patron
Au cours de la deuxième partie de TPMP, Benjamin Castaldi animait la traditionnelle séquence Gossip dans laquelle les chroniqueurs autour de la table revenaient sur les actus people de ces dernières heures.
Un sujet était consacré à Eugène Saccomano, qui faisait les beaux jours de la chaîne radio RTL, et qui est décédé à l'âge de 83 ans à cause d'une maladie cérébrale, l'homme souffrant de déficience neurologique. Si pour beaucoup de chroniqueurs, l'homme n'était pas cher à leurs yeux, pour Gilles Verdez, ce n'était pas le cas.
Avec beaucoup d'émotion, il dévoile à Benjamin Castaldi que l'homme était son patron pendant quelques années.
"Je lui dois tout"
Benjamin Castaldi, qui ne connaissait pas particulièrement l'homme, a demandé à Gilles Verdez s'il pouvait raconter aux téléspectateurs mais aussi aux chroniqueurs autour de la table les souvenirs qu'il garde de ce monsieur.
Submergé par les larmes et la voix étranglée par l'émotion, Gilles Verdez a eu du mal à déclarer: "C'était un personnage très cultivé, un grand journaliste qui était obsédé par l'info. Moi il m'appelait à minuit en me disant: 'Alors Verdez, t'es sur le coup? […] moi je lui dois tout." Avant de conclure ses propos, ému aux larmes malgré le soutien de ses amis chroniqueurs: "Pour tout ca, pour tout ce qu'il était, et parce que sa voix restera éternelle, merci Eugène."