Si TPMP connaît un réel succès d'audiences ces derniers temps, c'est parce que l'actualité est très chargée : entre le Coronavirus qui inquiète énormément de chroniqueurs dont Kelly Vedovelli qui a posté une photo avec un masque ou encore l'affaire Polanski, qui divise énormément les chroniqueurs de l'émission. Il y a quelques jours, la victoire de Roman Polanski aux Césars pour son film J'accuse a suscité une vive émotion et plusieurs personnes comme Florence Foresti n'ont pas hésité à exprimer leur dégoût envers l'homme.
Toutefois, certains chroniqueurs de TPMP ont décidé de prendre la défense du cinéaste comme Valérie Benaïm, qui continue a penser qu'il faut juger l'artiste et non pas l'homme en tant que tel, mais aussi Isabelle Morini-Bosc.
C'est surtout cette dernière qui a défrayé la chronique. Hier dans l'émission, elle est revenue sur un drame qui l'a touchée en plein cœur, la fois où elle s'est faite violer alors qu'elle n'était qu'une adolescente. Un témoignage bouleversant qui a suscité une vive émotion autour de la table.
"J'ai été violée trois fois"
L'équipe de chroniqueurs revenait sur la victoire du réalisateur pendant les Césars. Les chroniqueurs se sont largement divisés sur la légitimité d'une telle victoire. Si certains chroniqueurs n'ont pas hésité à dézinguer Polanski, c'est Isabelle Morini-Bosc qui a pris sa défense sans le savoir et a décidé de mettre en valeur le film qu'il a réalisé. L'émission est revenue sur une vidéo prise par Quotidien, à la sortie de la cérémonie des César.
Sur cette dernière nous pouvons voir Isabelle Morini-Bosc lançant une phrase choc qui a fait réagir sur le plateau de C8: "J'ai été attouchée cinq ans, j'ai été violée trois fois, donc j'ai parfaitement le droit de dire que j'ai aimé le film."
Une phrase qui a laissé pantois les chroniqueurs autour de la table mais également le présentateur de TPMP.
"Je n'en parle jamais, je n'en ai jamais parlé"
Quelques minutes plus tard, la chroniqueuse est revenue sur le drame qui a marqué sa vie à tout jamais, si elle affirme être contente et heureuse que Roman Polanski ait remporté la victoire en assumant que le film qu'il a réalisé reste très bon, elle a décidé de mettre les choses au clair sur ces affaires de viol subis : "Je n'en parle jamais, je n'en ai jamais parlé et je n'avais pas l'intention d'en parler."
Si la chroniqueuse semblait être calme et apaisée, certains chroniqueurs n'ont pas pu cacher leurs émotion comme Kelly Vedovelli ou Raymond, les yeux rouges de larmes et de colère.