Le monde de la télé-réalité française est secoué par des allégations de violences conjugales portées contre Julien Bert, candidat de plusieurs émissions de télévision. Dans une vidéo publiée sur Snapchat ce lundi, Julien Bert a répondu aux accusations de son ex-compagne, Hilona Gos, qui a raconté dans une vidéo d'une trentaine de minutes les violences qu'elle aurait subies pendant leur relation.
Une ligne de défense discutable
Dans sa réponse sur Snapchat, Julien Bert a nié les accusations de violence et de contrainte, les qualifiant de "calomnies".
Il a également affirmé que Hilona Gos cherchait à se venger de leur rupture, et qu'elle avait menti à plusieurs reprises par le passé. Sur cette vidéo, il tente de décrédibiliser totalement le discours d'Hilona, en disant que comme par hasard, c'est lorsque tout va bien dans sa vie qu'elle s'exprime :"Je suis heureux et épanoui et je le montre sur les réseaux, tout ça sort et toi, tu viens de te faire quitter...". Mais ce qui hérisse le poil, c'est lorsque Julien dit que cette relation, "elle a tout fait pour y retourner". Il explique que d'après lui, lorsque l'on est dans un couple toxique comme celui décrit par Hilona, "tu ne remues pas ciel et terre pour y retourner". Or, on sait bien que dans de nombreux schémas de couples toxique, on est sous l'emprise de l'autre et qu'il est souvent très difficile de quitter son conjoint même s'il est violent.
Une réponse qui peine à convaincre après les déclarations d'Hilona
Les propos de Hilona Gos sont glaçants. Elle décrit des violences verbales, physiques et psychologiques qu'elle aurait subies de la part de Julien Bert, notamment une tentative d'étranglement qui l'aurait laissée sans voix. Elle affirme également avoir été forcée d'avorter, sous la pression de son compagnon.
Aurélie Dotremont, une autre ex de Julien, prend aussi la parole
La belge, ancienne candidate emblématique de télé-réalité et ex compagne de Julien a elle aussi réagi en story. Dans sa story Instagram, elle a écrit les mots suivant : "Bien sûr, je vois ce qu'il se passe... je ne défendrai pas l'indéfendable". Elle précise ensuite qu'elle ne s'exprimera pas davantage sur le sujet car ce n'est pas son histoire.