La guerre continue entre les deux ex ! Lassée par l'attitude de Julien Bert, qui lui a fait vivre un véritable enfer lorsqu'ils étaient en couple, Hilona a décidé de tout balancer. Dans une première vidéo YouTube, Hilona a accusé Julien Bert d'avoir été violent avec elle. Également, elle a confié avoir avorté et être criblée de dettes à cause de son ex-fiancé. Selon la candidate de télé-réalité, Julien aurait volé 100.000 euros sur la société qu'ils avaient en commun "Juliette Nonna". Des accusations qui ont été très vite démenties par le principal concerné dans une longue vidéo sur la même plate-forme.

Alors, qui a tort ? Qui a raison ? Hilona vient de faire un coup de maitre contre son ancien petit ami en rendant publics des enregistrements qui confirment tout ce qu'elle a dévoilé.

Hilona se filme en pleine dépression

Dès les premières images de sa dernière vidéo YouTube, Hilona se met en scène dans une position peu reluisante. En effet, la jolie brune pleure assise sur ses toilettes. Elle s'adresse à la caméra : "Je voudrais que vous compreniez ce que je vis tous les jours depuis que je l'ai rencontré. Je n'arrête pas de pleurer. Je n'arrive pas à me relever de tout ce qu'il s'est passé ! J'en peux plus de faire cette dépression. J'ai tout perdu !"

Plus tard, Hilona explique qu'elle a eu des nouvelles de Julien et qu'elle devrait avoir l'argent rapidement.

Pour rappel, son ex-petit ami habite dans une maison dont il ne paye pas le loyer, d'un montant de 4.700 euros par mois. Seul hic, c'est le nom d'Hilona qui est sur le bail. Même si la propriétaire comprend parfaitement la situation, elle n'a pas d'autre choix légalement que de lui envoyer les huissiers. Pour combler ses dettes, Julien Bert a promis à Hilona qu'il avait trouvé un repreneur pour leur société.

Mais, elle va découvrir plus tard qu'il n'en est rien : "Je vais devoir porter plainte ! Il se trimballe avec une montre à 30.000 euros au poignet, mais c'est moi qui vais devoir vendre la mienne pour payer son loyer."

"Le seul qui a fait de la m*rde, c'est toi !"

Après avoir, encore une fois, laissé le temps à Julien de lui rembourser le montant de quatre loyers impayés et le chèque de caution, Hilona n'arrive pas à voir le bout du tunnel.

Pour prouver les faits de violence et les dettes qu'elle accumule à cause de son ex, la jeune femme avait pris soin d'enregistrer leurs conversations.

Alors que Julien Bert avait nié avoir des dettes envers Hilona et avoir levé la main sur elle, on entend clairement que ce dernier ne dément pas le fait de lui devoir plus de 80.000 euros durant cet appel téléphonique qu'il pensait privé. Face au mur, Julien s'excuse de la situation. À bout de nerfs, Hilona craque et fond en larmes : "Je suis en dépression, j'ai perdu mes amis, je vis une vie de m*rde à cause de toi, je me fais quitter par mon mec parce qu'il n'en peut plus ! Alors que j'ai toujours été sympa, je t'ai toujours protégé. Et toi, tu me fais vivre ça sans scrupule ?

Je vis un enfer !"

Dans la conversation, Hilona balance que Julien Bert ne paye pas ses impôts depuis 2020 et que son argent sera saisi. Elle menace alors son ex de tout balancer sur les réseaux s'il ne paye pas la somme de 18.500 euros de loyer, la caution de 9.500 euros et s'il ne signe pas la reconnaissance de dettes. Alors, Julien prévient : "Si on fait ça, je deviens le roi des abrutis. Ça va durer trois ou quatre ans la procédure." Une phrase qui n'impressionne pas la starlette de télé : "Tu n'as rien contre moi. Le seul qui a fait de la m*rde, c'est toi !" Et lorsqu'Hilo l'accuse toujours s'être servi dans les caisses de leur société et de l'avoir étranglée, Julien ne dément pas et s'excuse.

Une fois le délai de remboursement dépassé, Hilona se jure de porter plainte contre lui. Finalement, Julien Bert a bien quitté la maison dix jours après la date demandée, mais n'a pas remboursé son ex-fiancée. Et pour couronner le tout, le candidat a laissé le logement dans un état lamentable. "T'as pas honte de rendre une maison comme ça ?", demande-t-elle. Alors, elle prend une décision radicale, celle de porter plainte contre lui et de publier les vidéos.