Durant le mois d'avril, Maeva Ghennam a rarement fait parler d'elle. Celle qui est habituellement toujours au cœur de la polémique s'est assagie le temps du mois sacré de Ramadan. La star des Marseillais qui affichait son tapis de prières et toujours vêtue d'une abaya devant son objectif n'avait que des paroles pieuses. Maeva a assuré qu'elle avait enfin décidé de changer, qu'elle comptait à présent s'assagir et a même demandé pardon pour ses actes outrageux commis dans le passé.
Dans la métamorphose qu'elle avait évoquée, la candidate de télé-réalité avait juré qu'on ne la verrait plus en tenue trop légère ou sexy. Seulement voilà, une vidéo pour les besoins d'un placement de produit créé le bad buzz !
Maeva Ghennam arnaquée et défigurée
Le 28 avril dernier, Maeva Ghennam a confié qu'elle s'était fait arnaquer sur l'achat de sa maison de Dubaï. En larmes, la sulfureuse brune a expliqué que son promoteur lui avait réclamé plus de 500 000 euros pour faire construire la villa de ses rêves. Ne parlant ni anglais, ni arabe, Maeva a donc signé les papiers en toute confiance. Plus tard, elle s'est rendue compte avec son architecte qu'elle n'était propriétaire que du terrain...
Et les soucis s'enchainent pour la starlette du petit écran. En effet, Maeva Ghennam pourrait bien être défigurée à vie à cause d'une cicatrice sous le nez qui s'est rouverte. Une cicatrice qui a bien du mal à s'estomper après une énième opération de chirurgie esthétique. Ajoutez à cela, sa rupture avec Boli et son actuel déménagement. Cependant, elle tient à rassurer ses fans : "J'ai connu bien pire dans ma vie, ça va aller."
"Avant, je montrais mes fesses gratuitement"
Dans ses dernières stories Instagram, Maeva Ghennam s'est filmée en string pour vanter les mérites d'une culotte menstruelle. Sachant parfaitement que les critiques vont fuser, elle anticipe dans les stories suivantes : "Je sais que vous allez m'insulter parce que je me suis montrée en culotte et que j'avais dit que je ne montrerai plus en sous-vêtements... Je suis payée par la marque pour promouvoir ces culottes. Je suis obligée de vous les montrer ! Pendant le Ramadan, j'avais dit à la marque que je ne les porterais pas. Oui, je ne monterai plus en sous-vêtements, à part si je suis payée ! Avant, je montrais mes fesses gratuitement, maintenant, je ne le ferai plus !"
Booba, actuellement en guerre contre les influenceurs, vient une nouvelle fois de piquer Maeva en mettant en parallèle ses stories pendant le Ramadan et un extrait de sa dernière story.
Évidemment, les internautes n'ont pas manqué de réagir : "Après le Ramadan, il est donc usuel de se filmer en soutif, ah booon ?", "Enfin, elle dit la vérité pour du fric : elle peut faire tout et n’importe quoi pour l'oseille", "La religion et la pudeur à géométrie variable", "Dinguerie ! Donc s’il y a de la thune, sa « religion » n’est plus valable !"