La polémique sur Poupette Kenza prend de l’ampleur. En effet, l’influenceuse rouennaise continue de faire parler d’elle pour plusieurs dossiers graves. Déjà placée en garde à vue en février dernier, la jeune femme de 22 ans est visée par un signalement pour la mise en ligne d’images de ses enfants. Des clichés s’apparentant à de la pédopornographie. À la suite de ces accusations, la star de Snapchat brise le silence et se défend.
Deux députés ont signalé Poupette Kenza
La Française la plus suivie sur le réseau social Snapchat est dans le viseur de deux députés Renaissance.
Il s’agit de Bruno Studer et de Sarah Tanzili. En effet, ces parlementaires ont saisi le procureur de la République de Rouen pour avertir les photos des enfants de Poupette Kenza, assimilant à de la pédopornographie. Ils signalent notamment l’image sur laquelle la fille dénudée en culotte dans une position lascive sur un canapé et des clichés des enfants prenant leurs bains. Dans le cadre de cette affaire, la députée Sarah Tanzili s’est exprimée sur Twitter. Pointant du doigt la jeune maman pour avoir mis en avant ses progénitures devant ses abonnés, elle a lâché : "Jamais une maman ne peut ainsi exhiber son enfant. Face à ça, nous devons être intraitables".
Suite à la diffusion par l'influenceuse #PoupetteKenza d’images de ses enfants s'apparentant à de la #pédopornographie, j'ai saisi avec mon collègue Bruno Studer le procureur de Rouen.
Jamais une mère ne peut ainsi exhiber son enfant. Face à ça, nous devons être intraitables. pic.twitter.com/vNW1GbXVOM
— Sarah Tanzilli (@sarah_tanzilli) May 17, 2023
Des propos qui remettent en cause la décision du tribunal
Face à ces accusations, Poupette Kenza luttant contre le cybercriminalité avec l'émission The Blood Sisters a pris la parole.
C’est dans les colonnes de Paris Normandie que l’influenceuse a tenu à répondre aux parlementaires. Elle affirme que Tanzili ne s’est pas contentée de porter de fausses accusations. Puis elle lance : "Elle m’a carrément jetée en pâture sur internet". Selon la maman de Seyana et Khalis, ces inculpations ont conduit à la remise en cause de la décision de la justice.
En effet, une enquête de police et enquête sociale sur ces faits a déjà eu lieu, affirme l’influenceuse. Cette dernière a également expliqué être le "Bouc-émissaire pour ses propres intérêts politiques".
Snapchat avait banni Poupette Kenza
Plusieurs utilisateurs ont déjà contesté la surexposition des enfants de Poupette Kenza sur la plateforme. En ce sens, les modérateurs ont fini par bannir l’influenceuse après avoir reçu de nombreux signalements à son encontre en mi-janvier. Cette situation n’a pas empêché la maman de 22 ans à abandonner. Elle s’est donc emparée de son compte Instagram où elle est devenue plus active. En parallèle, la compagne d’Allan a ouvert un profil TikTok, où le nombre d’abonnés est rapidement monté en flèche.
Elle a réuni près de 800 000 fans en une dizaine de jours. Le compte suspendu a finalement été réactivé. Quant à son couple, Poupette Kenza a révélé son envie de rompre avec son mari. Elle s’est confiée à ses abonnés : "Je ne sais plus où j’en suis. J’ai envie d’arrêter".