Simon Castaldi, fils de Benjamin Castaldi et candidat de télé-réalité, a récemment été sanctionné par la répression des fraudes pour ne pas avoir mentionné le hashtag "sponsorisé" sur certains de ses placements de produits sur Instagram. Dans sa story Instagram, il a tenu à justifier sa sanction en expliquant qu'il avait simplement omis d'inclure ce hashtag par inadvertance.
Il a également réagi aux attaques de Booba, qui a pris pour cible plusieurs influenceurs, en dénonçant le harcèlement en ligne. Il a profité de l'occasion pour adresser un message à Booba, qui s'est engagé dans une lutte contre les arnaques en ligne.
Booba, le déclencheur d'une prise de conscience
Depuis que Booba a pris position contre les arnaques en ligne, la vie des influenceurs issus de la télé-réalité a été bouleversée. Le rappeur a ciblé plusieurs candidats de télé-réalité, ainsi que Magali Berdah, une figure importante de ce milieu.
Dans une interview accordée à Libération, Booba a expliqué qu'il avait été motivé par la découverte du rôle de certains managers et par les accusations d'escroquerie portées par de nombreux internautes.
"J’ai découvert le rôle de leur pseudo-manageuse, Magali Berdah, la reine de la futilité. Ça m’a donné envie de creuser pour comprendre. Comprendre pourquoi des milliers d’internautes les accusent d’escroquerie" a déclaré le rappeur français.
Sa lutte acharnée a finalement abouti à l'adoption d'une loi pour encadrer les influenceurs à l'assemblée nationale, le mercredi 31 mai. Ce jour-là même certaines sanctions sont tombées à l’encontre de Illan et de Simon deux figures de la télé-réalité française.
Une réaction face aux attaques de Booba
Simon Castaldi a également réagi aux attaques de Booba à l'encontre des influenceurs. Il a affirmé que les actions de Booba ne l'avaient pas affecté personnellement, mais a condamné le harcèlement en ligne qu'il avait observé.
"Personne ne m’a atteint" a rassuré le jeune influenceur. Il a souligné la gravité de ce comportement et a exprimé son inquiétude face aux conséquences néfastes du harcèlement sur les personnes ciblées. Simon Castaldi a appelé à la fin de cette forme de violence en ligne et à davantage de respect mutuel. "Les gars, ce qu’il a fait Booba, ça ne m’a pas touché (…) ce qui est grave c’est tout le harcèlement qu’il y a eu. C’est grave, c’est très grave" a-t-il fini.
Une sanction pour non-respect des règles
Simon Castaldi a pris la parole sur les réseaux sociaux pour expliquer la nature de sa sanction. Pour se justifier, Simon a dit : "Je rappelle que j’ai été condamné uniquement car j’ai oublié de mettre le hashtag ‘sponsorisé’ sur certains de mes placements de produits par le passé parce que je ne faisais pas attention".
Pour plus de clarification, le jeune influenceur est allé plus loin en disant n'avoir été impliqué ni dans des arnaques ni dans des pratiques de trading douteuses. "Donc qu’on soit bien claires, je n’ai ni fait d’arnaque, ni fait de trading bizarres" a-t-il ajouté à ses écrits.