Comme à son habitude, Bastos ouvre le débat sur les sujets assez sensibles sur les réseaux sociaux. Cette fois, le candidat de télé-réalité s’est emparé de son compte Instagram pour s’exprimer sur le viol ainsi que sa condamnation en France. Le jeune homme n’a pas hésité à tacler la justice française face à son inaction sur les agressions sexuelles et s’interroge sur son fonctionnement pour laisser les responsabilités en liberté.

"Si la justice française sert à autre chose" : Bastos s’emporte

Dernièrement, Bastos ne garde pas sa langue dans sa poche.

Il prend la parole quand une situation le perturbe et ne mâche pas les mots. Récemment, le Marseillais s’est permis de critiquer et attaquer le duc de la Boulogne, qui est déjà en guerre avec les influenceurs avec les placements de produits malhonnêtes depuis plusieurs mois. Il a lâché : "Booba c’est un pion comme tous les rappeurs l’ont toujours été" avant de poursuivre qu’il s’agit d’une des marionnettes des maisons de disques en réponse à un internaute qui l’a demandé sur la Toile. Par ailleurs, c’est en story sur Instagram que Bastos s’est confié sur son doute sur la justice en France et a remis sur la table l’un des sujets les plus sensibles : le viol. Le candidat de télé-réalité a pris le cas d’une amie comme exemple.

Selon le jeune influenceur, cette fille avait été violée et a dû faire plusieurs allers-retours au commissariat. L'ex de Victoria Mehault a déploré : "Il ne se passera rien" pour ce cas vu qu’il n’y a pas assez de preuves pour retenir le responsable. L’inaction de la justice française a poussé Bastien Grimal à pousser un coup de gueule.

Écœuré, il se demande "si la justice française sert à autre chose qu’à protéger les enc*lés contre les victimes". L’influenceur qui a marqué sa participation dans la deuxième saison de Love Island suite à un geste déplacé est dans l’incompréhension en ce qui concerne le fonctionnement de la justice dans l’Hexagone.

La star de la télé-réalité est déterminée à protéger sa famille

Dans cette prise de parole, l’ennemi de Nicolo Ferrari a soulevé le manque de preuves dans ces affaires. L’ancien compagnon de Victoria Mehault a également tenu à souligner sa détermination à être le bouclier pour sa famille face à ce genre d’injustice. Bastien Grimal alias Bastos, qui avait balancé l’une de ses ex, une influenceuse aux pratiques douteuses, a révélé qu’il préfère être derrière les barreaux plutôt que de vivre dans un univers où les auteurs des agressions ne sont pas punis. En ce sens, il a affirmé : "ça arrive à ma sœur un truc comme ça… Je vais en prison en trottinant plutôt que de savoir qu’on vit dans un monde dans lequel il y a un porc en liberté".