Lundi 4 septembre, le premier épisode des Cinquante a été diffusé sur W9. Une deuxième saison que les téléspectateurs attendaient avec impatience. Et pour cause, le casting de cette année est "énorme" et "trop bien". Et ce n'est pas nous qui l'affirmons, c'est Bastos, longtemps évincé par la chaine, qui fait son grand retour après sa participation il y a plusieurs semaines dans Love Island. C'est sur la plateforme Twitch que le candidat de télé-réalité promet de faire un débrief chaque soir après la diffusion de l'épisode inédit.
Et, comme à son habitude, Bastos n'a pas la langue dans sa poche.
"Il faut être méfiants des Marseillais"
Installé face à ses abonnés Twitch, Bastos répond à toutes les questions sans complaisance. Il énumère alors un à un les joueurs présents dans ce premier épisode des Cinquante. Le nouveau joueur débute son bilan en s'expliquant sur Julien et Manon Tanti : "Je les aime bien, mais dans l'épisode on a l'impression que je ne les aime pas parce que je m'en méfie. Le premier jour, ils créent des alliances devant tout le monde. J'ai réagi instantanément. Il faut être méfiant des Marseillais ! Julien Tanti est devenu son personnage à la télé. Il est un peu déstabilisé, car personne ne dit que c'est le boss. Il va être en difficulté."
Greg le millionnaire "pas à sa place", Fabrice "simplet", Fred "hilarante", Anthony Matéo "coup de cœur amical", Montaine "hyper belle", Jennyfer "perchée", Romane "femme enfant", Émilie Nef Naf "malicieuse", Anaïs Camizuli "un pitbull", Ludivine "pas sincère", Edgar et Cindy "pas faits pour la télé-réalité", Bastos continue son débrief en donnant un avis sur chacun, sans spoiler la suite de l'aventure.
Puis, il balance une anecdote sur Julie Ricci : "Elle m'a bloqué il y a six ans parce que je me suis moquée d'elle. Elle faisait des placements de produits en salle d'accouchement. Son mari s'est énormément énervé ! Il a pété un câble. Il me hait depuis !"
"La rupture entre Giovanni et Cassandra est chiante"
Ensuite, il continue avec Giovanni : "J'ai passé une journée en isolement avec lui et il a été gentil avec moi, alors que je n'ai jamais été tendre le concernant. Je ne serai jamais ami avec ce gars. On n'est pas pareil. Sa personnalité, ses centres d'intérêt, ses goûts, son style ne vont pas avec moi. Je ne l'apprécierai jamais."
Excédé de voir que Giovanni et Cassandra, séparés depuis plusieurs mois, étaient réunis, Bastos a déchanté : "Ils vont encore nous casser les bonbons ! Ça va être insupportable... Leur histoire était chiante et leur rupture est chiante. Les deux, je les trouve chiants, même séparément. Finalement, ils vont bien ensemble ! On n'a pas envie que cette aventure des 50 commence avec une embrouille qu'on a déjà vue un million de fois. Vous êtes lisses ! Même vos physiques sont lisses ! Vous me fatiguez... Qu'ils aillent régler ça ailleurs. On n'en veut plus !"
Bastos balance un premier gros dossier
Dans ce premier épisode des Cinquante saison 2, Zaven, révélé dans Les Princes de l'Amour, fait également son retour à l'écran.
En se retrouvant face au candidat, Bastos avait une certaine appréhension. Il s'explique : "J'ai vu l'ex de Zaven, Sabrina, pendant un moment. On s'est fréquenté de manière un peu... secrète. J'ai bien peur que c'était flou à ce moment-là. Elle n'était plus avec, mais à des moments ils étaient de nouveau ensemble. Je me disais : 'J'espère qu'il ne le sait pas'. Je ne lui en ai jamais parlé, même après. Maintenant, il risque de le savoir ! J'aimais bien Sabrina, elle est très créative."
Aussi, Anaïs Camizuli a fait le bilan de ce premier épisode. Questionnée sur sa rancœur envers Manon Tanti, elle raconte : "Elle avait fait un truc à une amie à moi qui ne m'avais pas plu du tout. Je me suis braquée ! Elle a eu un comportement que je n'ai pas apprécié. Manon est au courant. C'est pour ça que, quand je la vois, j'ai dit que ça n'allait pas passer elle et moi. C'est une histoire de l'extérieur."
De son côté, Julien Tanti a eu un retour de la critique de Bastos. Il tombe des nues : "C'est bizarre, pourtant on s'entendait assez bien. Ça m'étonne de lui... "