Au lendemain de son investiture, beaucoup d'américains contestent les élections de Donald Trump. Le trouvant trop sexiste, raciste, et oppressif envers les minorités, nous pouvons retrouver beaucoup de faits d'une Dissidence active et menée de front par des figures emblématiques des Etats-Unis. Bien que l'élection de Donald Trump ait été faite démocratiquement, et que les médias plébiscitaient Hillary Clinton depuis longtemps, cette élection crée des remous dans le pays.

Tout d'abord, nous pouvons retrouver cette initiative de Shia Labeouf, qui a créé un projet artistique anti-Trump, devant le musée de la Moving Image.

Un livestream diffusé 24/24, avec comme slogan principal "he will not divide us". Celui qui a lancé le live n'est autre que Jaden Smith !

Par ailleurs, nous pouvons nous souvenir de la Women's March, comme je l'avais évoqué dans un précédent article. Ces femmes du monde entier ont défilé face aux projets de lois sexistes du Président. En effet, il y a peu, il a pris les premières mesures anti-IVG. Notons le très remarqué discours de Scarlett Johansson.

Aussi, la polémique a enflé autour des "alternative facts". Un scientifique a même créé un nom de domaine de ce nom pour rediriger vers un article à propos du gaslighting. Une théorie expliquant qu'une personne pour avoir plus de pouvoirs, se pose en victime doucement afin de faire culpabiliser.

Un clin d'oeil à Trump ? Définitivement !

Souvenons-nous également des tweets enflammés de Katy Perry, qui clamait que "la révolution était en marche" ou encore que "le peuple avait le pouvoir".

N'oublions pas le peuple

Mais les plus inquiets, au delà des personnalités faisant leur cinéma...ce sont bel-et-bien les minorités.

Celles qu'a tant blâmé Trump, et ses votants. Ils craignent la construction du mur entre le Mexique et les USA, et craignent de ne plus avoir de sécurité sociale. Et surtout, ils manifestent. Ils expriment leur mécontentement. Ou encore les associations, qui ne recevront plus de subventions à partir de la signature du décret par Monsieur le Président. Les temps sont durs aux Etats-Unis...