Hier, le ministère de la défense de la Russie a annoncé une offensive de son armée vers la capitale Kiev de l’Ukraine, et le président Ukrainien a de son côté également annoncé une opération défensive contre l’attaque russe. Pour Vladimir Poutine, le président russe, c’est une situation entre la Russie et l’Ukraine, affirmant que les pays qui s’ingéreront dans la situation auront une réponse immédiate de la part de son pays. Dans la foulée des évènements, l’Allemagne est venue en aide à l’Ukraine dans la guerre en leur livrant 1000 lance-roquettes et 500 missiles sol-air.
Les pouvoirs de l'OTAN augmentent la pression contre la Russie
Le président français Emmanuel Macron continue à jouer le rôle de médiateur dans ce débacle, maintenant une voie ouverte de communication avec Vladimir Poutine et relatant à ce dernier les demandes de la comunauté internationale d'arrêter l'invasion russe en Ukraine. Les États-Unis n’ont pas tardé à montrer leur mécontentement envers les opérations russes, affirmant l'exclusion des banques russes du système bancaire international SWIFT dans une décalaration commune avec l'Union Européenne, le Royaume Uni et Canada. L'ex-président américain Donald Trump, qui a perdu sa candidature à la réélection contre Joe Biden en 2020, profite de la situation pour lui lancer des piques: "jamais il [Validimir Poutine] ne serait en train de faire ce qu’il fait si j'étais toujours président des États-Unis".
Vote d’une résolution de l’ONU sur la guerre en Ukraine
Le lundi 28 février à 16 heures (heure de Paris), la guerre en Ukraine a fait objet de discussion à l'Assemblée générale des Nations Unies (ONU) lors d’une "session extraordinaire d’urgence" des 193 membres. Ces derniers sont appelés à prendre position sur la situation qui fait polémique en Ukraine : soit ils se positionnent en faveur de la démocratie et la souveraineté de l’Ukraine, ou soit ils se positionnent en faveur de l’invasion Russe en Ukraine dirigée par Vladimir Poutine.
Les interventions se poursuivent jusqu'à aujourd'hui.
A la fin des interventions, on procédera à une mise au vote. A la fin de ces interventions, les européens et les autres pays qui compatissent à l’Ukraine « condamne dans les termes les plus forts l’agression de la Russie contre l’Ukraine », et demandent le retrait effectif et immédiat de l’armée russe d’Ukraine. Ces partisans de l’Ukraine gardent espoir qu’après les votes, ils obtiendront la majorité des votes en leur faveur.