Lundi 11 février, les téléspectateurs ont eu le plaisir de retrouver la troisième saison de Mariés au Premier Regard, un programme qui cartonne depuis sa première diffusion sur M6. Dans ce premier épisode, nous avons fait la connaissance de Marlène, une assistante maternelle de 30 ans. La jeune femme a rapidement attendri le public en racontant sa dernière mésaventure amoureuse : son ex qui l'a quittée à cause de ses formes.

En apprenant que les experts lui avaient trouvé un "match", la première angoisse de Marlène était de ne pas être acceptée physiquement par son futur mari.

Après cela, une séquence jugée humiliante pour la future épouse a été diffusée, où on y voit la jeune femme essayer des robes de mariée qu'elle n'arrive pas à fermer à cause de sa poitrine généreuse. Et en voyant la polémique prendre de l'ampleur sur les réseaux sociaux, la productrice de l'émission a souhaité prendre la parole pour s'expliquer.

Marlène humiliée, les internautes réagissent !

Célibataire depuis trois ans, Marlène va enfin pouvoir se marier avec un homme, dont le taux de compatibilité atteint les 82 % ! La jolie brune, qui n'a qu'un mois pour se préparer au mariage, essaye ses robes de mariée, un passage obligatoire dans l'émission. Seulement voilà, les images de Marlène à la boutique ont créé sur le scandale sur les réseaux sociaux.

En effet, les séquences où la vendeuse n'arrive pas à fermer ses robes ont été bien trop longues pour les téléspectateurs. "Grossophobie", "bodyshaming", on a tout entendu sur Twitter ce lundi soir.

La productrice réagit à la polémique et s'explique

Suite au bad buzz qui a entaché ce premier épisode, Kamila Fiévet-Paliès, la productrice de Mariés au Premier Regard 3 a tenu à s'expliquer pour nos confrères de 20 Minutes : "Nous racontons la vérité. Marlène a choisi ses robes de mariée sur catalogue en annonçant sa taille. Malheureusement, elle n'est rentrée dans aucune. On a dû aller chercher des robes en urgence", explique-t-elle sans se laisser impressionner par ce tapage médiatique.

"Oui, cela a été un moment très délicat pour elle qui pouvait avoir une incidence par la suite. Mais à un moment donné, on doit raconter toutes les étapes pour ne pas perdre en authenticité. Nous ne sommes pas là pour raconter du rêve. Sur le coup, nous n'avions rien d'autre à montrer."

Et ce n'est pas Marlène qui risque que de la contredire, puisque la jeune mariée a expliqué de son côté : "Je fais du 46 en haut et en bas... du 40". Forcément une taille pas banale, qui explique pourquoi la vendeuse a bien eu du mal à fermer les agrafes des robes au niveau de la poitrine.