Son nom est souvent propulsé en tête des tendances Twitter et à la Une des sites people pour son franc-parler. Souvent invitée des plateaux télé pour ses interventions très américaines, elle peut se vanter d’une notoriété qu’elle a su entretenir depuis maintenant plus de vingt ans. Afida Turner n’est pas uniquement connue pour son patronyme et son mariage avec Ronald Turner, fils de la star planétaire Tina Turner. Du haut de ses 43 ans, elle est elle-même passée au rang de star avec son activité de chanteuse et la sortie de deux albums mais aussi grâce à la participation à de nombreuses productions cinématographiques aux Etats-Unis ou plus récemment en France dans un film d’Enguerrand Jouvin, "Lumière Noire".

Mais c’est à la télévision qu’elle fera son retour prochainement. De retour en France, elle a accepté de répondre à Blasting News pour parler de son confinement aux USA et pour donner un avis sans détour sur la télé-réalité actuelle et ses projets d’émissions à son effigie qui devraient bientôt voir le jour.

Comment s’est passé le confinement aux Etats-Unis ? Quelle grosse différence pensez-vous que l’on a eue avec la France par exemple ?

Le confinement à Los Angeles était très compliqué puisque toutes les salles de sport, les restaurants, les bars d’hôtels, les salons de coiffure restaient fermés. Egalement les tournages sur Hollywood n’avaient pas repris. Heureusement j’ai un appartement à Miami où beaucoup plus d’endroits étaient ouverts au public, bien sûr avec les masques et un nombre restreint de clients.

Là-bas j’ai pu faire énormément d’exercices d’autant que je marche beaucoup, quasiment 1h30 de marche par jour autour des plages. Un bon moyen de bien manger, boire beaucoup d’eau, éviter les burgers et les pizzas etc … J’ai pu profiter de cette période pour me régénérer. Je pense évidemment à tout le personnel soignant qui a fait un travail extraordinaire aussi aux USA comme ici en France.

Vous déclarez sur les réseaux sociaux avoir déjà obtenu un certain nombre de parrainages pour l’élection présidentielle, vous continuez donc la course à l’Élysée ?

Effectivement après avoir posté mon message de candidature et mon passage chez Cyril Hanouna j’ai reçu énormément d’e-mails de maires notamment en banlieue qui se sont dits prêts à me parrainer pour les futures élections.

Après je sais qu’il en faut 500, évidemment je n’en ai que 100 aujourd’hui mais c’est déjà ça. J’en suis très fière !

Heureuse d'être à Paris ? Vos fans pourront ils vous retrouver sur les écrans prochainement ?

Bien sûr vous pourrez me retrouver à la télévision française vendredi 25 septembre mais je ne peux pas encore annoncer ni la chaîne ni le nom de l’émission puisque c’est une surprise. Ce sera communiqué un ou deux jours auparavant sur mon compte Instagram.

Est-ce-que vous êtes actuellement en pourparlers avec Cyril Hanouna pour son émission "Touche pas à mon poste" ?

Oui on peut dire que mes apparitions plaisent beaucoup au public, je sais que dès que je suis sur le plateau de TPMP, les audiences sont très bonnes. On était même devant Quotidien quand j'étais présente autour de la table dans une émission il y a deux ans. On m’appelle généralement pour ça et le public adore me voir c’est pourquoi j’ai même décidé de préparer le ‘Afida Turner Show’.

Afida Turner, vous êtes chanteuse mais vous avez eu l’opportunité d’assister à l’apogée de la TV Réalité et vos apparitions ont créé l’émeute, des millions de téléspectateurs devant leurs écrans ...

Aujourd’hui la télé-réalité se passe beaucoup sur les réseaux sociaux, a-t-on perdu en qualité selon vous dans les programmes ?

La télé-réalité est devenue une réalité d’une génération qui se ressemble tous. On sait plus qui est qui, ils ont tous la même tête, tous le même chirurgien. Il n’y a aucune star. Les directeurs de casting ne sont pas à la hauteur, ils n’ont pas réussi à trouver de nouveaux phénomènes. Je ne sais pas combien ils font en audience … mais on voit que ça n’intéresse plus trop. Quand j’étais sur M6, on faisait parfois jusqu’à 5 millions de téléspectateurs… Le public et les audiences parlent d’eux-mêmes.