Depuis quelques années, nous assistons à une recrudescence de cambriolages et de vols chez les candidats de télé-réalité. Et Maeva Ghennam est régulièrement la cible de malfaiteurs puisqu'elle a déjà subi plusieurs tentatives de cambriolages chez elle et chez sa mère à Marseille. Dans la soirée du mercredi 11 novembre, Aqababe a balancé une information qui a fait froid dans le dos : " "Maeva s'est fait braquer à Marseille. Elle s'est fait voler son téléphone, sa Rolex et aurait pris une balayette par ses agresseurs". Plus tard, c'est Akram, son assistant, et Magali Berdah, son agent, qui ont donné des nouvelles.

Après deux longs jours de silence, la jeune bimbo prend enfin la parole pour expliquer ce qu'il s'est passé.

Maeva Ghennam "traumatisée" et "en état de choc" après son agression

Habituellement très active sur ses réseaux sociaux, la candidate de télé-réalité n'a plus donné signe de vie depuis mercredi. Ce que les fans peuvent comprendre puisqu'elle s'est apparemment fait voler son téléphone portable. Hier, Akram, son assistant et ami, s'était exprimé sur son état de santé et les nouvelles étaient plutôt inquiétantes : "Maeva Ghennam s'est fait agresser devant chez elle. J'ai eu sa mère au téléphone, elle est encore dans un état de choc. Elle prendra la parole et vous en parlera au moment voulu..."

Plus tard dans la soirée, c'est Magali Berdah qui avait pris la parole au sujet de l'agression de Maeva : "Elle a été agressée à l'arme blanche par des individus ! Psychologiquement, elle est traumatisée et ne peut pas s'exprimer pour le moment. Elle est très forte, c'est une vraie guerrière, mais pour l'instant elle est encore choquée." La gérante de Shauna Events avait d'ailleurs profité de ce snap pour déplorer l'attitude de certains blogueurs qui ont fait fuiter l'information avant ses proches.

"Ils m'ont mis le couteau sous la gorge et m'ont tabassée !"

Il y a quelques minutes, Maeva Ghennam a enfin publié une longue vidéo sur Snapchat pour donner des nouvelles à sa communauté et expliquer ce qu'il s'est vraiment passé : "J'ai subi une agression quand je suis rentrée chez moi il y a 48 heures. Au moment de rentrer chez moi, trois mecs étaient cachés en bas. Ils m'ont agressée et frappée, ils ont pris tout ce que j'avais sur moi. Ils m'ont mis un couteau sous la gorge, ils m'ont attrapée par les cheveux, ils m'ont balayée par terre et m'ont tabassée. J'ai cru que j'allais mourir. Ils m'ont pris ma Rolex, mes bijoux, mon sac !"

En larmes et en état de choc, la star des Marseillais se livre sur son état psychologique : "Je suis encore choquée et traumatisée ! Ce que j'ai vécu ça fait peur, j'en fais des cauchemars ! J'étais seule et je n'ai pas pu me défendre. Aujourd'hui, j'ai peur d'être seule et je n'arrive plus à dormir. On m'a donné des cachets et même avec ça je n'ai pas sommeil." Maeva explique également qu'elle a eu très peur de s'être fait voler son chien par ses agresseurs.

Mais heureusement, l'animal a été retrouvé peu de temps après sur la route.

"Les policiers ont été archi méchants !"

Apeurée et sans moyen de communication, Maeva se réfugie chez ses voisins. Une fois en sécurité, elle appelle sa mère qui prévient son frère et la police. Mais le calvaire de la jeune femme est loin d'être fini.

Et ce qu'elle va raconter est assez effrayant : "Trois policiers arrivent et prennent ma déposition. Ils étaient archi mais archi méchants ! Ils m'ont très mal parlé !" Avant de partir, Maeva raconte que le policier lui aurait balancé : "C'est normal ce qu'il vous arrive. Vous n'avez pas à montrer tout ce que vous gagnez sur les réseaux sociaux !"

Mise à part sa mère, son frère et les policiers, personne n'était encore au courant de l'agression de Maeva. C'est la raison pour laquelle elle a été très surprise de voir Aqababe balancer l'information dans sa story Instagram. "Je reçois des milliers d'appels ! Et j'apprends que c'est le policier qui a balancé le scoop à Aqababe. J'ai les preuves ! (...) Je me fais agresser et la police se fout de ma g*eule parce que je me suis fait braquer et veut balancer mon adresse ? C'est très grave ! Ils sont censés me protéger ! Je suis allée porter plainte à la police des polices. J'ai passé la nuit au commissariat avec mon avocate."