Décidément, Nabilla fait beaucoup parler d'elle dans les médias depuis plusieurs semaines. Le 7 juillet dernier, un terrible drame s'est produit durant ce qui aurait dû être le plus beau jour de sa vie. En effet, Nabilla et Thomas Vergara ont été cambriolés la nuit de leur mariage. Alors qu'ils avaient invité plus de 180 personnes au château de Chantilly, des malfaiteurs se sont introduits dans leur chambre d'hôtel pour y voler tous leurs cadeaux de mariage. Un choc pour le couple ! Ce jour-là, les fans du couple avaient remarqué que le frère de Nabilla et sa femme, habituellement très proches des jeunes mariés, n'étaient pas présents à la cérémonie.
Alors, sont-ils en froid ? Nous avons enfin la réponse. Selon le compte Instagram @tmzfrance1, Nabilla et Tarek Benattia seraient fâchés à cause d'une histoire de vol d'argent et de rivalité avec Camélia. Hier, une autre affaire concernant Nabilla a éclaté. Nous avons appris par la presse que la jeune femme était condamnée à payer une lourde somme d'argent à cause d'un placement de produit trompeur. Blasting News vous en dit plus.
Nabilla Benattia condamnée à payer 20.000 euros d'amende
Hier, l'AFP a publié une information qui a autant étonné que réjoui : "L'influenceuse Nabilla paie 20.000 euros d'amende pour "pratiques commerciales trompeuses" sur Snapchat (Répression des fraudes)." Et c'est sur le compte de la DGCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) que nous allons connaître les détails :
"Dans une story Snapchat datant de 2018, Nabilla Benattia a omis de mentionner qu'elle était rémunérée par les sociétés exploitant ce site dans le but d'en faire la promotion. Toutefois, il s'agit d'une pratique trompeuse allant à l'encontre de sa communauté qui peut croire à tort que la promotion présentée résulte d'une expérience personnelle. De plus, Nabilla a mentionné la gratuité du service proposé par le site de trading, de la récupération systématique des sommes investies et de rendements pouvant aller jusqu'à 80% grâce à leurs conseils. Cette publicité est de nature à induire ses abonnés et les consommateurs en erreur sur les résultats attendus. Les tradeurs relèvent aussi de la qualification de pratiques commerciales trompeuses."
Si les fervents opposés aux placements de produits se sont réjouis de cette nouvelle, Nabilla a totalement assumé cette condamnation :"J’ai passé un accord avec la DGCCRF, j'ai payé une amende de 20.000 € suite à un post sur le BITCOIN il y a plusieurs années, quand j’ai commencé mon activité et j’ai accepté la publication de cette transaction. Je ne suis pas au-dessus des lois et j’assume les conséquences de mes actes. Ce métier est nouveau et nous n’avons toujours pas de règlementation stricte."
🗞#cpDGCCRF
Notre enquête a conduit au paiement par Nabilla BENATTIA-VERGARA d’une amende transactionnelle de 20.000 euros pour des #PratiquesCommerciales trompeuses relatives à la promotion sur Snapchat d’un site de formation au "trading" en ligne👇https://t.co/fyfCFN5hsq pic.twitter.com/mrW8JXk2jD
— DGCCRF (@dgccrf) July 28, 2021
"L'influence doit être cadrée et réglementée"
Comme vous le savez, les placements de produits sont devenus la principale source de revenus des candidats de téléréalité.
D'ailleurs, le travail de Shanna et Jonathan est menacé, car des "amis" signalent leurs comptes. Depuis quelques années, les influenceurs proposent des produits en partenariat avec des marques en tout genre et dépassent parfois les bornes... "Dropshipping" abusif, commandes jamais reçues, arnaques, on ne compte plus les affaires sombres autour de ces pratiques parfois douteuses, mais qui constituent de l'argent rapide et facile pour nos candidats.
Après s'être exprimée sur Twitter, Nabilla a pris la parole sur Snapchat pour expliquer ce qu'il s'est passé : "J'ai accepté de mon plein gré de payer une amende de 20.000 euros parce qu'il y a quatre ou cinq ans, j’avais dit que la cryptomonnaie était une valeur sûre. Or, dans le trading ou la bourse rien est vraiment sûr... Donc j'ai été réprimandée pour cela et je trouve ça vraiment bien que l'État français mette en place des règles pour ce nouveau métier qui est l'influence. Cela doit être cadré et réglementé. Je n'ai aucun souci avec ça !"