Cela fait maintenant plus d'une semaine que le #DubaiPortaPotty ne cesse de circuler sur le web et dans les médias. Dans une vidéo qui a été largement relayée sur Twitter, un homme défèque sur le visage d'une jeune femme. Ces images ont pour but de dénoncer ce qu'il se passe à Dubaï dans le milieu de l'escorting. Selon plusieurs témoignages, des femmes, et même des influenceuses, seraient généreusement payées pour s'adonner à des pratiques sexuelles dégradantes telles que la sc*tophilie ou encore la zo*philie. Dans une vidéo intitulée "Dubai Porta Potty: The Sick Things Instagram Models Do In Dubai" (traduisez "Dubaï Porta Potty : les trucs dégueulasses que font les mannequins Instagram à Dubaï") et diffusée il y a plus de 4 mois, le Youtubeur n'a pas hésité à imager sa storytelling avec des photos de Wafa, Marine et Océane El Himer.
Depuis, les candidates de télé-réalité françaises sont associées à ce genre de pratiques. Invitée sur le plateau de Touche Pas à Mon Poste, Maissane est venue témoigner des propositions douteuses qu'elle reçoit d'agences d'escort-girls à Dubaï.
"Comme si un mec allait payer 50.000 euros pour une photo de Maissane"
Comme indiqué ci-dessus, Maissane a confié sur TPMP : "On m'a proposé 50.000 euros pour accompagner des hommes à Dubaï". De cette manière, la candidate de télé-réalité confirme les rumeurs dénoncées avec le scandale Dubaï Porta Potty. "On demande souvent aux candidates de télé-réalité des photos contre des astronomiques. J'ai déjà reçu des propositions allant jusqu'à 5.000 euros pour des photos de pieds ! Les tarifs varient selon les candidates, mais ça peut aller jusqu'à 50.000 euros pour des photos ou des vidéos. (...) Des agences d'escort-girls nous envoient des mails toutes les semaines !", a-t-elle confié devant un Cyril Hanouna et des chroniqueurs médusés.
En découvrant Maissane sur son écran de télé, Haneia n'a pu s'empêcher dans la clasher en story : "La meuf, pour aller à TPMP, elle est partie raconter que genre on lui demandait des photos pour 50.000 euros. Mais c'est une mytho ! Elle va raconter n'importe quoi et c'est pour ça qu'aujourd'hui l'information est complètement faussée, car les gens sont assoiffés de buzz. Comme si un mec allait payer 50.000 euros pour une photo d'elle ! Il y a des meufs à Dubaï qui sont 10.000 fois plus belles qu'elle... enfin différentes on va dire, qui le font pour 500 euros ou qui couchent carrément pour 500 euros !"
Maissane clashe fort Haneia et balance les mails d'agences d'escorting
Après avoir écouté les propos d'Haneia, soupçonnée d'être une escort-girl, à son égard, Maissane a décidé de lui répondre et ça fait très mal : "Je n'ai pas pour habitude de répondre aux personnes du troisième âge. Ça me met très mal à l'aise parce que ça me fait penser à ma grand-mère. J'ai besoin de rectifier deux choses. Dans un premier temps, je n'ai jamais dit qu'on me demandait 50.000 euros pour m'envoyer des photos. Je comprends que l'audition baisse avec les années, mais on me demande de passer des séjours à Dubaï pour 50.000 euros. Ce que je n'accepte pas, contrairement à toi ! Et dans un second temps, si t'es énervée parce que tes tarifs sont trop bas, appelle tes clients !
Si t'as été déjà trop utilisée, c'est normal que ça baisse... Prépare ta retraite et laisse-moi tranquille !"
Et pour prouver qu'elle n'avait pas inventé ces mails après un "montre-nous les messages mdr mythomane !" d'Haneia, Maissane les a publiés dans sa story. "Et voilà ma réponse pour les curieux", ajoute-t-elle en légende.
Devant une telle preuve, Haneia a fini par capituler : "Je n'aurais jamais pensé que c'était vrai. Le monde est fou. Désolée Maissane."
Note de la rédaction : Blasting News est une communauté sûre où chacun peut exprimer son opinion. Cependant, nous n’avons absolument aucune tolérance à l’égard de la désinformation et des « fausses nouvelles », sous toutes ses formes, et pour cette raison, nous vérifions les faits de nos articles avec un processus qui implique au moins deux correcteurs. Nous suivons de près les développements dans le scandale Porta Potty en essayant de donner à nos lecteurs un contenu vérifié et digne de confiance.
