Le MPCC (mouvement patriotique pour le changement du Cameroun), ce parti politique dont l’emblème est survolé par une colombe blanche (signe de paix), vient d’atteindre un de ses objectifs les plus singulier, à savoir : une première candidature à l’élection présidentielle 2018. Le président du parti en la personne de Jean Blaise Gwet, se sera exprimé ce Mercredi 26 Avril 2017 aux environs de 10 heures, au 10e étage de l’hôtel Hilton de Yaoundé. L’hymne national entonné avec sérénité dans toute l’assemblée, la lecture de son programme a pu commencer après la brève annonce de son porte-parole.
Ce point de presse, dont les propos liminaires de ce gestionnaire d’entreprise accentuera son engagement citoyen pour les prochaines échéances politiques, fera l’objet de diverses réformes dans l’annonce d’un éventuel programme de campagne. Cette présentation assez bien ficelée, demeure jusqu’à ce jour la toute première candidature à se proposer devant le peuple camerounais pour l’élection présidentielle 2018. Ce personnage dont on ne présente plus les innovations (entre autres, concepteur et promoteur de la célèbre Lampe Solaire super éclairante Aida S5), et les passages dans les médias, aura tablé pour un Cameroun nouveau et proche de son ascension démocratique, dans un programme politique bien inscrit dans les projets structurels et de développement.
Le MPCC ou la résurgence d’un dynamisme pluriel à travers le slogan : Ensemble pour un Cameroun qui gagne
Face au public et aux hommes de médias, Jean Blaise Gwet entamera son allocution dans la renaissance de l’esprit de changement invoquant tour à tour cette peur d’une transition qui devrait disparaître pour chaque citoyen.
Durant cette présentation, l’évocation du soutien de l’Etat aux anciennes premières dames, de la réhabilitation des droits de l’ancien et regretté chef de l’état son excellence Ahmadou Ahidjo (de ce fait, il confiera humblement sa promesse de tenir cet engagement dès les premiers jours de son installation, ramener la dépouille du tout premier chef d’état camerounais et organiser un deuil national digne de ce nom), de la libération des anciens commis d’état (de l’opération Epervier entre autres, en récupérant les sommes détournées afin de créer des industries rentables), d’instaurer la double nationalité (pour que les camerounais de tout bords puissent jouir de leurs droits en tant que citoyen), d’un mandat présidentiel de cinq ans, d’une élection à deux tours, auront fait l’objet de sa démarche pour son futur mandat.
L’unité citoyenne servi avec un regain de prospérité et de restitution par le MPCC
Pour faire passer ce pays qu’on appelle l’Afrique en miniature du rang d’un pays en voie de développement à un pays émergent, cette première candidature du MPCC compte transformer la capitale en mégapole, réformer les forces armées et de police, passer à l’ouverture et à la tolérance, en incluant le droit à la justice pour tous, ou lutter contre le népotisme. La politique de réconciliation et de d'intégration de nouvelles valeurs de la jeunesse fera l'objet de son discours.
Selon le mouvement patriotique pour le changement du Cameroun, le gouvernement à besoin d’un grand mouvement patriotique, des fondamentaux qui régissent l’idéal du pays, avec comme leitmotiv : « faire de la politique autrement dans notre cher et beau pays le Cameroun ».
Suite à cette brève présentation, Jean Blaise Gwet saluera l’assemblée en terminant naturellement en citant cette phrase : « Que Dieu veille sur nous, nous protège et nous accompagne dans le changement de notre nation ».