Ce que les "astres" prédisent parfois, de bon comme de mauvais pour notre avenir, dépend du cosmos, de l'orientation des planètes, des pleines lunes, des vents... à un moment donné. En politique, la stratégie (bonne comme mauvaise) vient d'une orientation (bonne comme mauvaise) et d'un choix (bon comme mauvais), les vents sont les événements que nous subissons, ils peuvent être dans notre sens ou contraires, et notre avenir appartient à quelque chose de bien plus grand que nous, de bien plus grand que ce nous croyons... de quelque chose qui nous dépasse : la fameuse "transcendance"...
et pour ceux qui auraient peur de dire plus...
Moi, je n'ai pas peur. Et je dis les choses. Et j'écoute les "astres". Or, il y en a un qui n'écoute pas les "astres". Il y en a un, qui a une partie de lui dans la lumière et l'autre dans l'ombre. Il est perdu en fait. Il ne sait plus quoi faire. Il hésite. Il tergiverse. "Je voudrais bien, mais j'peux point". Voilà ce qu'il pense. En fait, il n'a pas compris ce qu'il fallait faire... pour pouvoir. Cela fait 10 années que je lui donne son futur pourtant et je ne suis pas une voyante, j'ai juste le don de clairvoyance, j'ai juste une route à lui transmettre et à suivre moi-même, parce qu'on me l'a transmise... Alors maintenant, vont sourire les souriants.
Et seront graves les intelligents. Car il en va quand même de l'avenir de la France. De votre avenir. Car avez-vous vu le marasme politique dans lequel se trouve votre pays ?... Et puis, celui dont je parle m'a bien énervée... Celui dont je parle m'a bien ignorée... Celui dont je parle n'a effectivement pas tout compris... Celui dont je parle doit passer maintenant de l'ombre à la lumière.
Mais que vous reste-t-il à faire, cher Monsieur Sarkozy ?
Oui, retour vers le futur. Retour vers ce que je vous annonce depuis si longtemps sur votre futur, et auquel vous n'avez pas cru. Et qui sera mon futur aussi. Et auquel j'ai cru, moi. Et pourquoi y ai-je cru ? Parce que vous ne vous êtes même pas rendu compte de ce qu'il vous manquait pour y arriver.
Moi, je l'ai vu. Pour y arriver, il vous faudra, cher Monsieur Sarkozy, bien plus que ce que vous ne croyez. Il vous faudra grandir et acquérir la sagesse adéquate, cette foi qui nous transcende nous les grands êtres humains, cet espoir qui nous donne la force des combats, cette chose que vous n'osez encore appeler... des fois qu'elle ferait peur.
La suite de l'affaire Fillon vous donne l'ouverture de la porte de votre destin. Ne ratez pas le coche cette fois, Monsieur Sarkozy ! Alors, par la présente, je demande à ce que François Fillon se retire de la course à l'élection présidentielle. Par la présente, je demande le report de l'élection présidentielle à septembre 2017, pour raison d'empêchement du candidat de la droite. Et par la présente, je vais vous accompagner vers votre destin, Monsieur Sarkozy. Qui sera mon destin aussi.