La séparation du couple parental est devenu de plus en plus fréquente. En France, on compte chaque année plus de 150 000 divorces. Des ruptures qui surviennent parfois alors qu'un ou plusieurs enfants sont nés. Malgré les mesures et les aménagements mis en place pour faciliter le quotidien des parents, parfois le plus difficile reste de gérer son ancien compagnon.
« On formait aux yeux des autres un couple solide, personne n'a compris notre rupture. Mais ça n'était qu'une illusion. Louise est très manipulatrice. Notre fille est née suite à un «oubli» de pilule.
J'avais parlé de me séparer quelques jours avant... Elle a su comment me retenir, je n'ai jamais connu mon père. Pourtant la naissance de ma fille est le «plus beau des accidents». Je l'aime mais Louise l'utilise comme une arme. Quand nous nous sommes séparés, elle a tout fait pour que je ne vois plus mon enfant et quand elle acceptait une visite, je la retrouvais dénudée sur le canapé prête à me sauter dessus. Notre fille elle l'utilisait pour me récupérer ou pour me faire du mal quand je la repoussait. Elle annulait au dernier moment nos rendez-vous, disait à notre fille que je ne l'aimais plus... Le pire c'est quand je me suis mis en couple. Elle a prétendu que ma nouvelle copine avait frappé notre fille.
Je l'ai menacé de porter plainte pour diffamation. Depuis quelques mois, les choses se sont calmées. Mais je me méfie de l'eau qui dort...»
Félix, 34 ans
«J'ai quitté Abdel, le père de mon fils parce qu'il m'avait trompé. Encore. La fois de trop. Un jour j'ai rempli la voiture de ma sœur avec mes affaires, pris mon fils et j'ai quitté la maison.
Je lui ai laissé un mot pour lui expliquer les choses, j'ai tout rangé, tout régler... Il est le père de mon fils. Je le quittais certes mais je ne voulais pas le laisser dans une situation précaire. Pourtant Abdel a cherché à se venger. D'abord en ne payant plus le loyer pour lequel je reste encore caution solidaire. Ensuite en refusant de signer le moindre papier qui concerne Aaron, que ce soit l'inscription à l'école ou le suivi par le psychologue qui m'est pourtant recommandé par sa maîtresse.
Je me retrouve bloquée. Abdel m'a harcelé pendant des mois. Certains jours je recevais plus de 100 mails. Il s'est permis d'écrire une lettre à mon patron pour lui dire que j'étais une mauvaise employée... Mais tout ça je l'encaisse. Non, ce qui me fait mal c'est le fait qu'il n'ai pas vu son fils depuis novembre 2015. J'ai l'impression qu'il refuse de le voir pour me punir. Aaron est innocent il aime son père. Son comportement me dégoûte !»
Mélanie, 27 ans
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