Pep Guardiola est hanté par les déceptions en Ligue des champions depuis son arrivée sur le banc de Manchester City à l'été 2016. Année après année, les citizens, au cœur d'un scandale après avoir menti au TAS, rentrent chez eux plus tôt que prévu. Ils n'ont pas encore atteint les demi-finales avec l'entraîneur catalan et le double vainqueur de cette compétition avec le FC Barcelone en 2009 et 2011.

Sous l'air Guardiola, les joueurs mancuniens, se sont fait éliminer une fois en huitième de finale (face à l'AS Monaco) et trois dans en quart ( face à Liverpool, Tottenham et Lyon).

Pourtant, les dirigeants du club ont dépensé d'énorme somme d'argent pour devenir les rois d'Europe. En effet, Le club a dépensé environ 800 millions, 778 pour être exact, en renforts depuis que Pep est entraîneur.

Cette élimination a été douloureuse pour les hommes de Pep Guardiola. Tout d'abord à cause de la manière et ensuite parce qu'ils étaient les ultras favoris de cette rencontre face à l'Olympique de Lyon, très solide et qui a réussi à contrer la stratégie mise en place par l'espagnole. La façon dont cela s'est passé est assez cruelle pour les citizens, car ils sont passés d'un possible 2-2, avec le terrible raté de Raheem Sterling à la 86e minute, à un troisième but de Lyon après une petite bourde d'Ederson.

Et, encore une fois le coach catalans et ses joueurs disent au revoir à la Ligue des champions à la fin de ce match face à l'OL, alors qu'hier l'arbitre choisi faisait polémique.

Une question d'un journaliste français snobée par Guardiola

Lors de la conférence d'après-match, l'entraîneur de Manchester City, Pep Guardiola, a déploré les "erreurs" qui ne peuvent être permises en Ligue des champions et que contre l'Olympique de Lyon, leur ont coûté l'élimination en quart de finale.

Il rajoute que ses joueurs ont eu du mal à trouver les espaces et que les Lyonnais ont été très physiques et très agressifs. Il avoue qu'en seconde période, malgré l'amélioration du jeu de son équipe les détails, ont fait la différence.

Mais, lorsque Dominique Séverac, journaliste au Parisien et consultant de l'émission 'l'équipe du soir' diffusée sur la chaîne l'Équipe, pose une question au coach qui a sorti le Real Madrid au tour précédent, la réponse du Catalan est surprenante.

En effet, le chroniqueur a demandé à l'ancien entraîneur du Bayern Munich, quel était son pronostique pour le prochain vainqueur de la Ligue des champions, le coach espagnol très affecté par la défaite lui répond sèchement "je ne sais pas".

Au cours de cette conférence de presse, l’entraîneur de Manchester City, semblait sonné et complètement dépité de ne pas avoir pu aller au bout de cette Ligue des Champions qui était l'objectif numéro un du club après avoir été détrôné par Liverpool en Premier League.

Les réseaux sociaux surpris par la question posée à Guardiola

S'il y a bien un endroit où les fans du Football réagissent à chaud sur l'actualité de leur sport favoris, c'est bien sur Twitter. Ainsi, les internautes ont pris un malin plaisir de se moquer de question de Dominique Séverac.

Explosé.

Devinez l’origine du seul journaliste qui a posé une question que Guardiola a balayé en 3 mots "I don’t know"… (Dominique Severac, qui a jugé bon de poser la question 'qui va gagner la LDC ?' à un coach qui vient de se faire sortir et qui est là pour parler foot.)"..."La question la plus stup*de de la conférence de presse de Pep Guardiola, je vous donne dans le mille : Dominique Severac ! "Qui va gagner la Ligue des Champions le 23 août ?"..."Que des questions pertinentes pendant la conf de Guardiola et d’un coup Dominique Severac 'Qui va gagner la LDC' Je sais pas a sorti Pep et hop 3 secondes au suivant quel guignol ce type c’est incroyable"

"La question de Séverac à Guardiola... Mais sérieux le niveau des journalistes Français.

Farmer press"..."Belle tentative de question inutile de Severac à Guardiola"..."La question la plus débile posée en conf de presse à Guardiola : Maintenant que vous êtes éliminé qui va gagner la LDC ? I don't know ! Il lui aurait répondu rien à foutre, c'était pareil. Merci à Dominique Severac".