Nabilla Benattia a été révélée en 2011 dans L'amour est aveugle 2 alors qu'elle n'avait que 19 ans. L'année suivante, la jeune franco-suisse avait convaincu au casting des Anges et sera retenue pour participer à la quatrième saison à Hawaï. Son couple sulfureux avec Sofiane et la chanson qu'il a composé pour elle feront beaucoup parler d'eux. Tout s'enchaîne pour Nabilla. Actrice dans Hollywood Girls 2, chroniqueuse, clips musicaux, Nabilla devient très populaire. Et c'est une phrase devenue culte dans Les Anges de la Téléréalité 5 et sa relation passionnelle avec Thomas Vergara qui la hisseront au rang de star.
Fin septembre 2014, Nabilla devient chroniqueuse dans le célèbre talk-show Touche Pas à Mon Poste. Mais à deux doigts de la consécration, tout s'arrête ! Dans la nuit du 6 au 7 novembre 2014, la candidate de télé-réalité est arrêtée et placée en garde à vue après avoir poignardé son compagnon Thomas au thorax. Presque six ans plus tard, Nabilla et Thomas, aujourd'hui parents d'un petit Milann, font des révélations choc sur cette fameuse année.
Que s'est-il passé la nuit du 6 novembre 2014 ?
Ce soir-là, le couple séjournait à l'hôtel. Dans la soirée, une violente dispute éclate entre Thomas et Nabilla récemment en larmes sur Snapchat à cause de son père. Dans une interview, que le jeune homme avait donné à Jeremstar, il tente d'expliquer la cause de cette altercation : "On est vachement oppressé et ça crée des tensions. On est constamment ensemble, alors on vit tout ensemble : les émotions, les énervements. Notre relation est plus fusionnelle que passionnelle. (...) On s'est disputé pour rien, c'est allé très vite." La vérité, c'est que Thomas était très jaloux lorsqu'elle était chroniqueuse dans TPMP et la trouvait "trop provocante".
Dans la dispute, la starlette poignarde son compagnon à la poitrine. "La situation a dégénéré, je l'ai blessé aux poumons. (...) Oui, il a failli mourir", avait-elle confié au magazine Sept à Huit. Arrêtée et placée en garde à vue, Nabilla fournira plusieurs fausses versions à la police, par peur. Incarcérée à la maison d'arrêt de Versailles, elle mettra deux semaines avant de sortir de sa cellule pour se rendre à la promenade.
Nabilla sera remise en liberté, sous contrôle judiciaire, le 18 décembre. Son procès est prévu pour fin 2015. En attendant, Nabilla et Thomas ont interdiction de s'approcher, ni d'entrer en contact. Mais c'est plus fort qu'eux. Le 31 décembre, ils se rejoignent dans un hôtel et débute une longue cavale pour se fréquenter en cachette.
"C'était un cauchemar !"
Aujourd'hui, le couple file toujours le parfait amour. En mai 2019, Thomas et Nabilla, qui a récemment été remerciée par Brigitte Macron en personne, se marient à Londres, puis ils accueillent leur premier enfant Milann le 11 octobre 2019. En novembre 2019, ils quittent Londres pour emménager à Dubaï. Depuis leur luxueuse villa, les deux jeunes parents comblés reviennent sur l'épisode le plus marquant de leur vie et font des révélations choc sur leur relation cachée entre 2014 et 2015.
Confinés depuis le mois de mars, comme la majeure partie de la population mondiale, Nabilla et Thomas confient que le confinement a failli leur coûter leur couple : "C'était un peu tendu comme chez tout le monde.
Ça s'embrouillait pour le frigo qui était mal fermé, des embrouilles pourries". Une proximité forcée qu'ils ont bien connue dans le passé, puisque le couple a vécu caché jusqu'au jugement de Nabilla.
"Nous, on est déjà resté confiner un an ensemble, un an ! On n'avait pas le droit de se voir, alors on est resté caché tout ce temps enfermé dans un appartement, sans sortir pratiquement. Juste pour rester ensemble. C'était long... Alors ce n'est pas ce confinement de quelques mois qui va nous séparer. C'était un tout petit appart' dans le sud de la France, un studio. C'était pendant l'été, il faisait chaud, c'était un cauchemar !", se souvient Thomas.
"C'était vraiment tout petit, genre une pièce. On a survécu à ça !", ajoute Nabilla qui en profite pour faire la promotion de son livre où elle y raconte tous les détails.
