Depuis quatre jours, le monde de télé-réalité est chamboulé à cause d'une sombre histoire de sorcellerie. Marc Blata a fait fuiter des notes audios et des vidéos compromettantes de Carla Moreau jetant des sorts à sa meilleure amie Maeva Ghennam. Par conséquent, tous les regards sont tournés vers Les Marseillais, à tel point qu'on en oublierait leur concurrence. Car pendant que Julien Tanti, qui a traité Carla de "folle", Manon, Milla Jasmine et les autres débattent sur le sujet, la JLC Family profitait tranquillement de ses vacances à la montagne.
Du moins, c'est ce que nous pensions. Alors, qu'elle n'avait pas beaucoup snapé, Jazz explique une fois rentrée chez elle à Dubaï l'enfer qu'elle a vécu durant son séjour au ski.
"Nous n'étions pas les bienvenus !"
Jazz et Laurent ont profité des vacances d'hiver pour emmener leur petite famille à Auron, une station de sports d'hiver située dans le département des Alpes-Maritimes. Une région que Jazz Correia connait parfaitement puisqu'elle est originaire de Nice. Mais dès le premier jour de vacances, Jazz a publié une photo qui a inquiété ses fans puisque cette dernière a annoncé être très malade. Depuis, la jeune maman a très peu donné de nouvelles... De retour à Dubaï et en pleine forme, elle raconte son calvaire.
En plus d'être malade, Jazz, qui a récemment menacé de "frapper" Jessica Thivenin, raconte que les habitants, les commerçants, les organisateurs d'activité et même les gendarmes se sont ligués contre eux : "Visiblement, le jour de notre arrivée, nous n'étions pas les bienvenus ! Premier jour, je me fais insulter par des gamins... Je les ai les remis à leur place. Je viens de Dubaï à Auron, et alors ? J'ai grandi là quand j'étais petite. Les gendarmes s'interposent. Ensuite, j'ai payé des cours de ski particuliers pour Chelsea et Cayden pour qu'ils soient en sécurité. Mais la monitrice a fait un TikTok avec Chelsea en disant qu'elle était à Auron au Piou Piou ! Du coup, une mini chasse à l'homme contre nous se met en place dans tout le village et les gendarmes se mettent sur nos côtes !"
Jazz et Laurent, victimes d'une grosse arnaque ? Furieuse, elle raconte tout
Après avoir vécu d'autres mésaventures où quelques commerçants l'ont agressée, Jazz va raconter comment ils ont été arnaqués par le gérant d'une activité. "On a voulu faire une promenade en chiens de traineaux et de la moto des neiges. On est dix pour deux heures. Le mec nous fait le devis, ça fait 5.000 euros ! Donc, 500 euros par personne, c'est énorme ! Laurent et Emine vont revoir le mec en lui disant que c'est trop cher. Ils arrivent à négocier 3.600 euros. Le mec s'est pris une marge de fou ! Mais on a envie de le faire, donc on accepte et on paye 2.000 euros d'avance", commence-t-elle.
Et l'histoire est loin d'être finie. Jazz continue de se confier sur l'arnaque dont ils ont été victimes : "Sur place, on me dit que c'est 4.000 euros. Ils nous mettent une carotte ! En plus, nous sommes arrivés en retard car les gendarmes étaient venus voir. Ils nous restaient qu'une heure et on était moins que prévu. Alors, j'annule. (...) On demande au gérant de nous rendre les 2.000 euros, mais ce monsieur ne répond plus pendant deux jours. Il m'a volé !" Et pour corroborer ses accusations, Jazz affiche les prix de cette activité où elle aurait dû payer seulement 130 euros par personne.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. La candidate de télé-réalité raconte qu'ils étaient invités à manger chez des amis. Le couple, qui vit sur place, est propriétaire d'un restaurant qui n'a jamais été ouvert. "On a mangé chez eux, on s'est fait balancer par les gens du village et les gendarmes sont venus ! En-dessous, un restaurant qui appartient à la fille d'Estrosi recevait une cinquantaine de personnes sur la terrasse. C'est autorisé pour les moniteurs de ski, mais là aucune personne était en rouge. Nous étions 10 ou 11 dont 3 enfants. On s'est tous pris une amende de 135 euros et mon ami a eu des problèmes car les gendarmes ont pensé qu'il nous avait ouvert son restaurant. Pourquoi faire ch*er les gens ? Les flics nous suivaient partout, partout ! (...) On s'est senti incriminé parce qu'on était des Blancs, des Noirs, des Arabes et des célébrités. Ils ont la haine contre nous !"