Depuis plusieurs mois, Booba est en guerre avec les influenceurs. En effet, le duc de la Boulogne dénonce les pratiques commerciales douteuses de certaines stars des réseaux sociaux. L’artiste est parvenue à mettre en lumière le business, entrainant l’adoption d’une loi qui régit cette nouvelle profession. Ceci a un impact majeur sur les revenus des influenceurs qui ont connu une baisse importante.
Face à cette situation, Julia Paredes a pointé du doigt B2O pour avoir anéanti le monde de l’influence.
Julia Paredes reproche Booba pour avoir détruit le métier d’influenceur
Cela fait plus d’un an que Booba s’est engagé à lutter contre les pratiques douteuses des influvoleurs. Le rappeur mène la guerre avec un collectif d’aides aux victimes des influenceurs. Depuis que B20 a mis la main sur cette affaire, il mène la vie dure aux stars des réseaux sociaux qui auparavant gagnaient beaucoup d’argent grâce aux placements de produits. C’est au micro de Jeremstar que Julia Paredes s’est confiée sur sa baisse de revenus à cause de cette guerre sans merci.
En effet, l’ancienne candidate de Les Anges a révélé dans l’émission Baby Story : "je gagnais 35 000 euros, 35 à 40 K, et après les polémiques, maintenant, on est à des 5000. C'est réel". Pour la maman de Louna et Vittoria, Booba a tué à petit feu le business depuis que le rappeur a lancé sa chasse aux influenceurs en affirmant : "ça nous a tués au niveau du taf".
"Il a mis tout le monde dans le même panier"
Dans cette interview, Julia Paredes a confirmé que Booba ne faisait pas la différence entre les mauvais et les bons. Elle a même lâché : "Il a mis tout le monde dans le même panier" alors que plusieurs personnalités des réseaux sociaux ont snappé sur ses musiques. L’influenceuse a ensuite affirmé que ce derniers n’ont pas détruit le rappeur français, alors qu’il a fait un grand nettoyage dans le monde de l’influence.
Ainsi, ceux qui ne peuvent plus se payer la vie onéreuse à Dubaï rentrent en France. La candidate d’émission de télé-réalité Mamans & Célèbres installée à Dubaï a lancé : "la vie ici faut l’assumer".
Les marques hésitent à engager les influenceurs
Selon la jeune maman, la baisse de revenu est due notamment aux marques qui hésitent à confier leur placement de produits aux influenceurs. De plus, les attaques de Booba ont poussé le gouvernement à se concentrer davantage sur le commerce des influenceurs. Ainsi, les autorités ont voté une loi pour encadrer au mieux la profession ainsi que le business.
Bien que ces règlements soient instaurés, Booba a interpellé Bruno LeMaire à passer à la vitesse supérieure dans la lutte contre les arnaques sur la Toile.
Il a ainsi lancé un appel pour que les influvoleurs soient punis pour qu’ils ne continuent pas l’escroquerie. De lourdes sanctions, dont la prison, les amendes ou encore le remboursement des victimes, sont demandées. Pour mémoire, plusieurs influenceurs comme Illan Castronovo et Simon Castaldi ont été visés par la DGCCRF.