Le plan d’investissement du Cameroun voit certes légèrement sa croissance augmenter depuis quelques années, mais ne cesse de s’étendre dans l’ensemble du territoire national. Les accords de partenariats avec les pays du Nord ont toujours été des plus courus en matière de financement de projets structurels. Les industries mondiales favorisant ainsi le secteur de l’emploi et la planification des biens et des moyens, voient leur essor s’étendre plus facilement dans les pays dits développés. L’Afrique qui pourtant regorge de nombreuses richesses (provenant de divers secteurs autant du sol que du sous-sol, de l’agriculture ou de l’élevage entre autres), voit son économie quelque peu stagné à cause du manque d’infrastructures et de moyens financiers adéquats.
La main d’œuvre se faisant de plus en plus insistante, le domaine de l’ingénierie commence petit à petit à augmenter, vu le nombre de diplômés qu’il accueille chaque année. Le Cameroun, dans sa grande diversité se veut d’être cette nation qui d’ici quelques années pourra se prémunir de ses nombreux atouts afin d’avoir une émergence croissante. Le CCERE (centre de commerce extérieur et de relations extérieures) de part ses attributions en tant qu’institution de facilitation pour l’intégration de nouveaux investisseurs, aide et prévient ceux-ci lors de la signature desdits partenariats économiques. Doté d’une équipe de professionnels autant en communication, en audit ou même dans le domaine juridique, le centre permet à ces potentiels investisseurs de pouvoir légalement et librement s’installer au Cameroun.
L’accompagnement dans leurs démarches administratives se fait dès leur arrivée sur le sol camerounais et les renseignements sur les diverses prestations du CCERE se trouvent également dans le site internet de l’entreprise.
Pour avoir une économie de marché assez prévisible dans l’échiquier de cotations, l’implantation des industries de développement astreindrait automatiquement le Cameroun au rang de pays développé.
Pour cela, il faudrait avoir des accords de partenariats et des financements viables pouvant créer de grandes industries sur place et parallèlement booster l’emploi dans différents pans de chaque exercice bien déterminé. Les secteurs comme l’énergie, les infrastructures de l’intégration sous régionale et l’industrialisation auront dorénavant une visée prioritaire dans ces nouveaux partenariats d’échanges.
Les institutions financières et les Banques assermentées telles que le FMI (Fond monétaire international), La Banque Mondiale, la BAD (Banque Africaine de Développement) ou encore la Banque des PME (représentée comme facteur de financement du secteur privé) accompagnent au quotidien ces investisseurs dans leurs transactions.
Des accords de partenariats utiles et avisés en accord avec le CCERE
Créé depuis quelques années à Douala la capitale économique du Cameroun, le CCERE dirigé par son directeur Ibrahim Zakari commence peu à peu à faire parler de lui avec des résultats probants de ses actions. En effet, certaines entreprises en passe de vouloir une coopération directe avec le Cameroun ne se retrouvent pas forcément avec une paperasse et des conditions administratives inadéquates.
« Nous sommes une entreprise de régulation, d’accompagnement, et de suivi qui facilite les tracasseries administratives et collabore également avec des cabinets conseils pour un meilleur échange avec notre pays ». Relève ce directeur au sujet du CCERE.« Les investissements de la banque au Cameroun sont de l’ordre de 2,5 milliards de dollars, soit environ 1.100 milliards de FCA pour sensiblement 22 projets d’échanges avec la BAD depuis plus de 45 ans ». Dira le Dr Akinwumi Adesina président du Groupe de la BAD.
L'Afrique et le Cameroun ont besoin d’avoir des bases solides de leur économie dans le but de voir leurs accords perdurer dans les différents secteurs de développement. Nouvellement pressentie comme la prochaine manne du continent, l’Industrie de l’Environnement (les éoliennes, les plaques solaires, le recyclage entre autres) commence peu à peu à s’intégrer dans certaines régions. Le CCERE se verra ainsi avoir des ressources pour commencer à identifier les ayants-droits nécessaires à impacter chaque projet d’installation ou de facilitation.