Tout comme Dominic Thiem, Denis Shapovalov ou encore Stefanos Tsitsipas, le numéro un mondial Novak Djokovic se montre aussi favorable au remplacement des juges de lignes par la technologie.

Novak Djokovic, tennisman dès le début

Né le 22 mai 1987 dans sa Ville natale Belgrade en Serbie. Il a 33 ans à présent. Son père était un skieur professionnel. À quatre ans, il a déjà tapé sa première balle de Tennis. À l’âge de quatorze ans, il gagnait un tournoi de tennis en junior. En 2003 il commençait à attaquer sur le circuit professionnel du tennis.

Les pensées de Novak Djokovic

Il a été clair sur sa position : "La technologie est tellement avancée à l’heure actuelle que je ne vois pas pourquoi on devrait se reposer sur des juges de ligne sur le court". Des propos qu’il a dits après l’issue de sa qualification au 8e de finale du tournoi Roland-Garros.

Pour le numéro un mondial, les autres tournois de tennis devraient suivre l’exemple du tournoi de Cincinnati et de New York.

Pendant le dernier tournoi Masters 1000 de Cincinnati, délocalisé à New York, seul l’arbitre de chaise était présent. Une machine se chargeait de crier le "Out" et le "Fault", et excluait toute contestation de la part des joueurs. Novak Djokovic désire que ce genre de systèmes se répandent dans le monde du tennis : "Je ne vois pas pourquoi les tournois, dans le monde entier, n’utiliseraient pas la technique que nous avons au tournoi de Cincinnati et de New York", a-t-il déclaré.

Novak Djokovic : conscient du coût de l’instauration de la technologie

Le numéro un mondial Novak Djokovic est, toutefois, conscient du coût qu’engendre la mise en place de la technologie dans l’ensemble du circuit : "que la technologie coûte cher".

L’utilisation de la technologie Hawk-Eye est coûteuse et requiert un grand financement.

Tous les circuits ne peuvent pas effectuer ce genre d’investissements, et cela crée des problèmes d’équité dans le sport.

Novak Djokovic ne se décourage pas pour autant

Malgré ces inconvénients, il continu à être persuadé que l’emploi de la technologie devrait être généralisée dans le futur.

Novak Djokovic assure : "J’ai l’impression que nous nous dirigeons vers cela, tôt ou tard.

Il n’y a aucune raison de garder les arbitres de lignes". Il n’a plus envie de revivre la même mésaventure qu’il a vécue lors de l’US Open. Il se fait disqualifier après avoir involontairement touché, avec une balle, une juge de ligne.