Alix fait partie de cette nouvelle génération de candidats de télé-réalité au caractère bien trempé. En quelques apparitions télévisuelles, la copine de Benjamin Samat a marqué les esprits - pour le meilleur comme pour le pire - et ne laisse pas indifférent les téléspectateurs.
Aujourd'hui dans la tourmente suite à des rumeurs lancées par le blogueur Aqababe sur les réseaux sociaux, celle qui est revenue dans Les Princes et les Princesses de l'Amour s'est confiée sur sa maladie.
L'intervieweur Sam Zirah souhaite revenir bien entendu sur son parcours professionnel dans les émissions, mais veut d'abord en savoir plus sur Alix, son passé, et la maladie qui la rongeait.
Elle a déjà évoqué, au cours d'interviews passées, cette étape de sa vie, mais c'est aujourd'hui pour elle l'occasion d'y revenir en détail et nous expliquer comment elle est devenue la femme qu'elle est aujourd'hui.
"On m'a lavé dans mon lit pendant neuf mois"
Sam Zirah savait où il voulait en venir dès le départ puisqu'il commence par évoquer le "passé pas des plus faciles" d'Alix. Celle-ci commence par relativiser en expliquant qu'on a tous des expériences de vie différente et qu'elle n'a pas eu de si graves problèmes. Mais à l'entendre ensuite, on se rend compte de la gravité de sa maladie.
Touchée alors qu'elle est une jeune adolescente par une maladie cousine du staphylocoque doré, Alix va passer par plusieurs mois très compliqués, comme elle l'explique : "Quand j'étais à l'hôpital, je suis repassé au stade 'couche'. J'étais tellement faible, j'étais alitée dans un lit à air pour éviter les escarres (...) C'est hyper dégradant quand tu arrives à l'hôpital à 13 ans, tu es en pleine crise d'adolescence, tu veux être une femme, tu te retrouves à l'hôpital avec des gens qui viennent te faire des prises de sang toutes les nuits (...) Je pouvais pas m'essuyer toute seule. On m'a lavé dans mon lit pendant neuf mois quand même".
"J'ai fait une septicémie" !
Les problèmes ne s'arrêtent pas et la jeune femme confie que les médecins pensaient qu'elle avait d'abord une tumeur. C'était en effet une maladie extrêmement rare : "J'étais le quatorzième cas au monde, le premier en Europe. Je suis passée en cas d'école. C'est une bactérie qui m'a rongé le cartilage et l'os du col du fémur. C'est nécrophage donc ça aurait pu s'attaquer aux organes et tout mais j'ai eu de la chance. J'ai fait une septicémie, un empoisonnement du sang. J'ai failli mourir du coup, mais bon ça va je suis là". Une expérience qui a forgé la jeune femme et qui explique selon elle son fort caractère. A frôler la mort ainsi, difficile de ne pas en ressortir changé.