Le chiffre d’affaires de chaque structure est pour tout indice de croissance, une forme d’augmentation ou de réduction de la productivité à l’échelle locale, nationale et même internationale. Lorsque des industries de production ou de régulation des entreprises voient les marchés nationaux et internationaux remis à la baisse, on fait suite à une cotation peu régulière et parfois méconnue. L’importation et l’exportation des produits dans la croissance d’un pays deviennent ainsi en premier ressort une plateforme d’échanges et de vente pour l’économie.
Réguler ces échanges semble pour la plupart du temps simplement du ressort du secteur de la douane, mais cependant certaine structures publiques ou privées jouent également le même rôle, ou travaillent en partenariat avec cette entité étatique. Le CCERE (centre de commerce extérieur et de relations extérieures) poursuit également l’amélioration de l’environnement des affaires dans ses attributions. Dans ses nombreux challenges, le CCERE inclut les TIC (technique de l’information et de la communication) dans ses objectifs tout en faisant entrer sa collaboration avec le Data Center dans son plan de vulgarisation. Les procédures de suivi, de pré-dédouanement, de prise en charge, de dédouanement, d’enlèvement, d’embarquement et même de circulation sont pris en charge par le CCERE de manière juridique et légale.
Le Data Center pouvant servir à optimiser la gestion de la trésorerie, ou à minimiser certaines incertitudes financières, digitalisent ainsi les entreprises. Les experts en Data Center ou en Data Cameroun, serviront ainsi à stocker les informations nécessaires aux activités des entreprises et même des particuliers. Le centre de commerce extérieur et de relations extérieures, dans un objectif de faciliter les procédures d’avec les potentiels investisseurs, s’investit à fond dans son travail en s’entourant de professionnels dans divers domaines de compétences.
Dans le domaine des TIC, il mettra en route un réseau de protection des données en collaboration avec les experts du Data Center afin de les protéger contre le vol, les hackers, les inondations ou encore les coupures régulières d’électricités. La protection des investisseurs étant encore mineure, le centre prendra en charge l’exécution des contrats, la réglementation ou encore l’accès au crédit de ses clients, en simplifiant ainsi les procédures.
Le CCERE face à la digitalisation numérique, procède avec parcimonie aux échanges de l’import-export
Estimer les droits de douanes ou se mettre à l’abri des intermédiaires véreux reste en toute chose la priorité du CCERE selon son directeur, monsieur Ibrahim Zakari. Ayant formé une équipe solide, soudée et surtout professionnelle autour de lui, ce directeur charismatique n’omettra pas de parler de E-commerce lors d’un de ses échanges avec les médias en faisant un suivi de dossier déjà en ligne, des paiements directement dans les banques, car ceux n’ayant pas d’information pourraient accéder en ligne au système d’information des acteurs du milieu.
En effet, le projet « Ocean Innovation Center » (inaugurées ce 11 Juillet 2017 parle le ministre de l’Economie et de la Planification et de l’Aménagement du territoire) du technopole économique de Kribi (port autonome en eaux profondes de Kribi) est service à haute valeur ajoutée dans le domaine numérique grâce aux TIC au Cameroun, se voit donc débourser la somme de 607 millions de francs CFA.
Avec toutes ces nouvelles formes numériques, le CCERE compte à son tour intégrer successivement ces grandes lignes dans le plan de développement et de collaboration avec l’état du Cameroun en vue de pouvoir interagir avec les potentiels investisseurs. Le Cameroun pourra ainsi se pâmer dans quelques temps, d’avoir des voies d’accès dans divers domaines de compétences notamment celui du Data Center et ce par le travail de certains organes privés tels que le CCERE.