Le Cameroun étant un pays de paix et de cohésion sociale, sa stabilité résulte de l’harmonie des communautés y résidant. Les populations autochtones ou même allogènes n’ont pour ainsi dire aucune entrave dans cette paix et ce vivre ensemble institué. Les dix régions du Cameroun, comptant à peu près 300 dialectes aussi distincts les uns que les autres, a toujours fonctionné de manière régulière et harmonieuse sans écarts ni favoritisme. De ce fait, il est fréquent de rencontrer toutes les tribus et traditions dans chacune des administrations en marge de du bon fonctionnement de l’Etat.

En outre, les esprits tortueux et malveillants ne manquent pas de vouloir débrider cette harmonie si jalousée par les autres. C’est ainsi que ces séparatistes créeront une république virtuelle appelée république d’Ambazonie. Son principal président imaginaire d'Ambazonie, le sieur Sessekou Julius Ayuk Tabe voudrait une séparation complète du Cameroun et ces supposées zones anglophones. Bien que ces sécessionnistes ne soient qu’un groupuscule en vue de créer du désordre et des doutes dans l’esprit des citoyens camerounais, certains anglophones expriment quant à eux leurs désapprobations face à ce personnage sorti de nulle part avec ce régime virtuel.

Sur ce, le bilinguisme reste la particularité de cet état africain dont l’une des principales particularités est la solidarité et la convivialité.

Le Cameroun anglophone situé dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest depuis quelques mois se réclame marginalisée par certains individus qui se veulent être des dissidents. C’est ainsi que les forces de sécurité prêtes à intervenir afin de rétablir le calme et la sérénité dans les foyers, se sont vues échanger de violents combats ce 14 décembre 2017 entre les sécessionnistes terroristes ambazoniens et les FDS (forces de défenses et de sécurité camerounaise) dans la localité d’Akwaya au Sud-Ouest camerounais.

Le BIR (Bataillon d’intervention rapide) avec son « opération chacal » prendra le total contrôle de la localité de Dadi aux environs de 8 heures du matin. Après des violents échanges avec ces rebelles sécessionnistes, l’on fera état de plusieurs morts de côté de ces terroristes et d’aucun dans les rangs des FDS.

Le Cameroun prend acte de se sécurité en protégeant sa population

Au sortir de ces attaques avec ces terroristes, les chefs traditionnels du département de la Manyu ont appelé au retour à la paix et dénonceront en toute chose les violences de toutes sortes. Parmi les objets retrouvés, l’armée camerounaise s’accaparera d’un fusil à pompe, de 26 fusils de chasse, de la poudre à canon, d’une vingtaine de téléphone, des munitions, de 70 t-shirts noirs floqués ADF, d’une paire de jumelle, d’un ordinateur, de 8 écussons d’épaules aux couleurs Bleu-blanc et de deux chaussures de rangers entre autres.

Les attaques étant stratégiques et bien ficelées, les FDS ont usés des hélicoptères et des drones afin de pouvoir facilement localiser ces assaillants et de les mettre hors d’état de nuire.

Le colonel Didier Badjeck chef de division de la communication du ministère camerounais de la défense affirmera que les combats se seront déclenchés très tôt le matin avec une intrusion de ces dissidents. Les forces du BIR bien outillées leurs réserveront un accueil des plus cinglants et au final des assauts, ils hisseront le drapeau camerounais en guise de rétablissement de la paix. La Cameroun pourra dorénavant compter sur les FDS avec l’apport de l’Opération Chacal, pour assoir la stabilité et le vivre ensemble dans toutes ses régions et ainsi éradiquer le terrorisme et l’anarchie dans tout le territoire camerounais. Le Cameroun pourra effectivement se targuer d'avoir une armée prête à défendre ses populations, comme d'autres exemples vus dans l'Afrique et dans le monde.