Je n’ai jamais vu Secret Story, mais j’apprends à écrire pour Google. Tout un art. Enfin, c’est limite… fastoche. Tu prends la requête « Secret Story », puis Actualités > Moins d’une heure. Comme il ne se passe pas d’heure sans qu’un bidule sur la série (c’est une série? de télé-réalité ? Je n’ai pas tout faux?) ne remonte, tu (oh, pardon, vous, je ne le ferai plus, c’est juste que… même en espagnol j’emploie encore usted, c’est vous dire, mais l’effet d’entraînement vers la vulgarité, j’vous dis pas: Secret Story, c’est la pente savonneuse, le Carribe Tour qui s’engouffre en Sylla’s Venture; et la gonorrhée mentale qui tape l’incruste à la faveur de sodomies suggérées).
Il faut comprendre. Des lycéennes – pubères, majeures, bien sûr, bien sûr… nous ne fréquentons pas Donald Trump – en socquettes blanches, jupe plissée bleue marine, chemisier col Claudine, et surtout pas de nattes, mais un petit chignon demoiselle de la Légion d’honneur, dans une parodie du Belle de Jour de Buñuel, forniquant avec des blousons noirs les saillant à testicules rabattues, passe encore. De jeunes Saint-Cyriens musclés culbutant des filles de ferme, des Margoton à faucille, soit. Encore que… Dommage que les ébats de Louise de Vilmorin et Anaïs Nin avec René La Canne († 2000) – dont je salue amicalement la rémoise mémoire – et des comparses du gang des Tractions d’antan, n’aient pas été filmés en Super 8.
Mais cela? Pouah! Enfin, fi donc! Mais bon, mes gants pour la chasse, à cour, m’ont fait plonger dans des tripes, alors, hein! Et puis, j’ai aidé à traduire Prières exhaussées, de Truman Capote.
Cuistrerie ou cuissage, mon choix est fait
Quitte à passer pour un cuistre (un penchant… une fantaisie… un menu plaisir…), je vais châtier mon langage pour vous dire… que Vincent Queijo est un « goujat» (Aymeric l’a prononcé correctement, c’est déjà cela) qui aurait laissé s’enfuir une polissonnerie en compagnie d’une ex-mie, Gaëlle Garcia Diaz (ces étrangers qui nous empruntent des prénoms bretons sont déplorables, comme me le confiait Hillary Clinton au dîner du cardinal de New York).
Vincent n’est point notre saint Curé d’Ars, mais il serait titillé par le démon de regagner les faveurs d’une Sarah (une israélite? pourquoi pas?) alors qu’il serait basques et chemise avec une Hillary (une homonyme de notre chère Mrs Clinton). Ces ragots de cuissage empestent le phacochère faisandé dépecé par les autours. Ils feraient « tremper le biscuit»; le rose, mais non celui de Reims dans une flûte de Salon (maison Besserat de Belfon puis Laurent-Perrier).
Il semblerait aussi que les adeptes des étranges lucarnes auraient conspué Bastien qui n’aurait pas nominé son comparse Julien (ou que Bastien fricoterait avec une Mélanie et que Julien en prendrait ombrage, je ne sais; de vous à moi, peu me chaut). Il y a donc un trophée à remporter? Bref, Julien se voit opposer des épithètes injurieuses. Du genre faquin, en plus cru. Pas très la-di-da (comme s’exprimait la délicieuse Diane Keaton, récente lauréate de l’American Film Institute, dans le très réussi Annie Hall de notre cher Allan Konigsberg: Dylan Farrow ne s’est pas encore commis dans Secret Story, mais calomnie, médisance et billevesées l’y destinent). Quant à Mélanie, ses larmes de Sainte-Nitouche n’ont trompé personne, vous pouvez m’en croire (enfin, ma revue de presse).
La Maison des Secrets balayée d’ouragans l’éventrant bruisse tout autant des frasques de Fanny. Une Lusitanienne tout autant discourtoise que ces autres filles de rien. Un Darko (un négroïde? Allez savoir…) lorgnerait sur une Coralie mais ne saurait rompre avec une Anaïs ou Athanaïs (à culbuter dans les maïs, comme le chante le truculent Hubert-Félix Thiefaine?). Tout cela fleure moins bon que mes écuries. Il m’est dit que ma chère Pimprenelle de la Motte Saint-Pierre (nous sommes liés par la branche andécave) aurait des lumières au ce sujet par un producteur. Attendez-vous donc à savoir… Mais, oserai-je?