Le record absolu est de 18, mais il pourrait bien être battu lors de cette vingt-et-unième édition de la Coupe du Monde 2018. En effet, 14 penalties ont été sifflés dans ce Mondial, ce qui représente déjà un nombre plus élevé qu'il y a tout juste quatre ans, au Brésil. Un record qui n'a cependant pas été le fruit de multiples simulations dans la surface de réparation, grâce notamment à l'assistance vidéo.
La VAR n'y est donc pour rien dans ces tacles en pleine surface, et aurait même davantage une place importante à jouer. Après le réveil de plusieurs équipes qui n'étaient pourtant pas favorites, le nouveau mystère de ce Mondial russe concerne les penalties.
13 penalties sifflés en 2014, 14 déjà en plein milieu de la phase de poules
La VAR pourrait bien régler plusieurs injustices que l'on a l'habitude de voir sur les terrains de Football. Ce qui appelé "l'effet VAR" n'en 'est qu'à son commencement, mais a déjà changé les habitudes des supporteurs et des joueurs. Nouvel élément indispensable dans un match, accusé de ralentir le rythme par certains détracteurs, la nouvelle avancée en matière d'arbitrage, qui s'ajoute à la Goal Line Technology, promet dans tous les cas d'avoir son mot à dire au milieu des débats.
28 rencontres ont été jouées, soit une moyenne d'un penalty tous les deux matchs. Comme le souligne Eurosport, le record absolu de 18 tirs au but pourrait être atteint, voire dépassé en 2018. La phase de poules se terminera jeudi prochain, mais les rencontres à venir vont être décisives pour certaines formations. De quoi encore provoquer de nombreuses fautes dans la surface de réparation.
4 assistances de la VAR dans ces 14 penalties sifflés
Seulement, malgré un rôle certain joué par la VAR, seul quatre duels face au gardien ont été accordés suite à une décision de l'arbitrage vidéo, ce qui est peu. Ces quatre validations se sont déroulés en premier lors du match France - Australie, qui a coïncidé avec la première utilisation de cette technologie en Coupe du Monde, puis lors de la rencontre entre le Pérou et le Danemark, une nouvelle fois pour les Socceroos lorsqu'ils jouaient contre le Danemark, et enfin lors de la confrontation entre la Suède et la Corée du Sud.
Cependant, malgré l'aide de la VAR, beaucoup de simulations ont pu être déjouées, comme ce fut le cas pour Neymar, qui voulait forcer la main de l'arbitre néerlandais dans le match Brésil - Costa Rica.