Le monde des affaires prédéfini honorablement le développement d'une contrée, d'une nation, d'un pays et même de tout un continent. Sursoir entre l'ouverture au monde des investissements, et l'élaboration de certains accords de principes entre plusieurs nations, permet activement d'élaguer le secteur très couru d'une économie de marché florissante. L'Afrique, quant à elle, consciente de ses richesses du sol et du sous-sol, commence peu à peu à grimper sur cette balance commerciale dont les agences telles que le CCERE (centre de commerce extérieur et de relations extérieures) au Cameroun facilitent inexorablement l'implantation des investisseurs à travers tout le continent.

Le centre de commerce extérieur et de relations extérieures a vu le jour en 2009 à Douala et a comme leitmotiv cette capacité de pouvoir accompagner de manière légale, juridique, et professionnelle, les potentiels investisseurs venant du monde entier. Ayant à sa tête ce personnage distingué et courtois en la personne d'Ibrahim Zakari, le centre officie à travers son directeur général, ceci en proposant des services d'accompagnement et de suivi lors de chaque rapport ou de signature de contrat entre avec ses clients. Les professionnels (comptables, informaticiens, avocats, communication, économistes...) en gestion de ressources, de patrimoine et des cabinets conseils, partagent avec ce centre privé et de manière très étroite, les différentes activités inhérentes au bon fonctionnement des affaires dans les divers secteurs.

" Nous sommes une plateforme d'accompagnement et de suivi qui de prime abord, vient faciliter les tracasseries administratives relatives à chaque individu, ou chaque investisseur dans le besoin. Nous agissons dans la légalité et assuront à tout nos clients une discrétion et une satisfaction dans tout nos engagements préétablis avec ceux-ci.

Le CCERE en 2017 à montré sa capacité et son professionnalisme dans chacun de ses dossiers et compte encore outiller cette ascension en cette nouvelle année 2018". S'est exprimé Ibrahim Zakari lors d'une interview face aux médias.

Le CCERE pour un nouvel idéal face au développement

Implanté respectivement dans chaque domaine concernant la gestion des finances ou la libre circulation des substrats économiques, le CCERE commence peu à peu à réguler certains pans de ses attributions lors des litiges.

En effet, constitué en conseil stratégique pour l'affaire Vodafone Cameroun, le centre a réussi à mettre en berne les malversations de cet institut face à la fraude et aux abus dont il était accusé. Vodafone, à travers la firme Afrimax SARL, s'est ainsi vu apposé un scellé sur son Data Center, l'empêchant ainsi de partager illégalement la connexion internet. De nombreux employés de cette firme de communication (qui n'a pu obtenir une licence légale de diffusion) se sont ainsi vus avoir des arriérés de salaires conséquents, d'où la fermeture immédiate de ses bureaux au Cameroun.

Par ailleurs, l'industrie de l'environnement (l'intégration des plaques solaires, le recyclage, les éoliennes, l'agriculture, l'élevage...), des nouvelles technologies liées au monde numérique (e-commerce, e-bank...) ou encore celui de l'importation industrielle, sont une partie de l'apanage des différents contrats liés au centre de commerce extérieur et de relations extérieures.

De ce fait, cette entreprise privée pourrait régulièrement nécessiter des ressources nécessaires dans le but d'identifier ses ayant-droits lors de chaque projet d'installation ou de régulation systémique.

Un dynamisme prépondérant occulté par le CCERE

Lors de l'accompagnement de certaines entreprises pour la facilitation d'installation au Cameroun, le centre s'occupe des différentes modalités autant diplomatiques (visas, cartes de séjour, hébergement...) que juridiques dès leur arrivée sur le territoire. Afin de prévenir une économie de marché dans le prisme d'une cotation boursière régulière, l'avènement de nouvelles industries de production placerait automatiquement le Cameroun au rang de "pays en voie de développement", sous le joug d'une balance commerciale effective.

Le CCERE, par le biais de de son directeur Ibrahim Zakari, compte ainsi mettre sur pied en cette année 2018, une restructuration de ses partenariats à travers son site internet, ceci dans le but d'élargir son champs d'action et de professionnalisme interactif.