Vodafone Cameroun n'a cessé d'être le centre d'intérêt de polémiques concernant sa fermeture brutale et les réclamations de ses ex-employés. Selon les statistiques, ces ex-employés sont livrés à eux-mêmes depuis que le Data Center de Vodafone Cameroun a été scellé et que les services administratifs les ont notamment floués. Ces ex-employés qui réclament dûment leurs salaires se voient contraints de le faire via les médias pour être entendus. De ce fait, l'état camerounais qui vise une bonne implémentation électronique dans le domaine des télécommunications a mis sur pied un ensemble de procédures visant à obtenir une licence conforme pour les entreprises privées désireuses de s'y installer.

En outre, le ministère des Postes et télécommunications (MINPOSTEL) a prévu des sanctions pour les entreprises non-conformes à cette loi allant à la fermeture complète des établissements visés. Vodafone Cameroun n'ayant pu obtenir une licence conforme, ne s'est pourtant pas privée de mener des activités frauduleuses, d'où son démantèlement et la cessation nette de sa diffusion dans tout le territoire. Sur ce, le CCERE (centre de commerce extérieur et de relations extérieures), dirigé par Ibrahim Zakari décoré officier de l'ordre du mérite camerounais, a été constitué en bureau de conseil stratégique concernant le cas Vodafone Cameroun.

Non loin de se départir de cette démesure imposée par cette cessation brutale de ses activités, cette firme de communication a néanmoins contacté un certain cabinet d'avocat afin de pouvoir illégalement opérer à des activités non conformes à ses prérogatives.

Ayant fait état des choses, le CCERE a tenu à faire un nouveau communiqué afin d'informer l'opinion nationale et internationale. Ce communiqué a été fait ce 7 Février 2018 à Douala et signé du directeur Ibrahim Zakari. Il a donc été conçu comme suit :

"Il est porté à l'attention du public nation et international, qu'un certain cabinet d'Avocats camerounais serait entrain de proposer à des acquéreurs nationaux et internationaux, la vente des équipement et matériels appartenant à la société Northwave, autrement appelé AFRIMAX. Celui-ci opérant sous le nom commercial de Vodafone, et dont les activités ont cessé au Cameroun depuis Novembre 2017. Nous tenons à les informer que toutes les transactions portant sur ces biens, saisis et placés sous-main de justice, sont nulles et de nul effet, et que les éventuels acquéreurs s'exposent à des poursuites judiciaires".

Ibrahim Zakari compte poursuivre Vodafone jusqu'au bout

Les ex-employés de cette firme qui pourtant jouit d'une grande notoriété dans plusieurs pays, ne cessent de réclamer leurs impayés à travers les courriers et les appels de l'état.

Il a été dit que certains biens et équipement sont entrain de vouloir être vendus pour payer ces salariés abandonnés mais personne ne sait comment ni quand. Des clients ponctuels de cette entreprise électronique ayant acquis des modems sont également dans cette même situation de non connexion dû à l'arrêt de la diffusion d'internet.

En effet, le Data Center étant scellé par le tribunal de Douala, toutes les activités ayant cours à celles liées à Vodafone Cameroun ont du stopper immédiatement.

Le CCERE étant constitué en partie adverse a donc été mise en place afin de dénoncer ces malversations et ces abus que subissent jusqu'à nos jours les anciens salariés de la firme. Ibrahim Zakari et sa grande équipe judiciaire, pénale, et communicationnelle ont tout mis en place afin de mettre en branle cette escroquerie qui n'honore en rien le nom de Vodafone originel. A chacun des nouveaux rebondissements de cette affaire qui alimente de plus en plus la presse, le directeur du centre tient à donner des informations justes et légales concernant ces nouvelles approches incohérentes que veut démontrer le cabinet d'avocat.

Aucune somme acquise ou une quelconque statistique provenant d'un cabinet comptable n'a pu être prouvée jusqu'à nos jours. Le CCERE tient ainsi à rappeler que Vodafone Cameroun reste sous scellé et qu'aucune de ses activités ne semble pour l'instant dans la norme de la légalité.