Le CCERE confronté une fois de plus à la justice décide de contre-attaquer dans l'affaire Vodafone Cameroun. A cet effet, le directeur du Centre de commerce extérieur et de relations extérieures (CCERE) monsieur Ibrahim Zakari s'indigne de cette déconvenue dont sont victimes les ex-employés de cette firme privée de télécommunications et des dégâts qu'elle a causé sur son passage.
Le CCERE a donc été sollicité pour la la défense des intérêts de la partie adverse. Le Cameroun étant un pays de droit et d'expression libre, les citoyens camerounais mués par cette légitimité pondérée s'y contraignent sans préambule, d'où la plainte de madame Halimatou Hassana (remise plus tard par procuration à monsieur Ibrahim Zakari).
En effet, ladite plainte est dérogée le 10 Juillet 2017 contre les sieurs Pamboro Antoine, Bidias Wazeck François, Sama Wilfried Asi, Maître Etah Akoh David et Lars Stork pour diverses infractions douteuses, blanchiment des fonds et financement du terrorisme entre autres.
Toujours dans ce même registre, l'officier de l'ordre du mérite camerounais monsieur Ibrahim Zakari, a adressé un courrier (qui à été reçu le 19 Mars 2018) au MINDEF (ministère de la défense) avec pour objet : la haute intervention d'urgence sur la lutte contre le blanchiment des fonds et financement du terrorisme. De prime abord, la plainte relève de la justice militaire d'où sa transmission à monsieur le commissaire du gouverneur près du tribunal militaire de Douala. Ceci conformément à l'article 3 de la loi N° 2014/028 du 23 Décembre 2014 portant répression des actes terroristes.
Par ailleurs, après avoir fait scellé le Data Center de Vodafone Cameroun, Ibrahim Zakari a tenu à signaler cette imposture dont a fait montre le magistrat Jean Paul Kiam du cabinet KPMG constitué pour la défense de la firme électronique.
À cet effet, ledit cabinet a par ailleurs été incapable de fournir un rapport adéquat, suite à la gestion financière de Northwave SARL (société mise en cause et qui vendait les produits Vodafone Cameroun).
Le CCERE ou cette plateforme d'équité et de justice
Le centre de commerce extérieur et de relations extérieures, reste et demeure axé sur l'accompagnement des investisseurs et la facilitation de leurs démarches administratives dans le domaine économique et celui des affaires. Entouré de professionnels en tout genre (avocats, communicateurs, comptables, informaticiens, juristes...), monsieur Ibrahim Zakari a fait de cette plateforme un pôle de solutions pour les investissements nationaux et internationaux.
Le CCERE a donc initialement prit la défense de madame Halimatou Hassana, qui le 7 Juillet 2017 a été placée en garde-à-vue sur ordre du magistrat Kiam Jean Paul pour diffamation. En outre, ce magistrat est d'autre part suspecté d'avoir aidé l'un des accusés.
L'identité de ce déserteur a prouvé qu'il s'agissait bel et bien du danois Lars Stork qui pourtant avait une interdiction formelle de sortir du territoire camerounais par la police. D'après les dires du directeur du centre, le magistrat Kiam Jean Paul a comploté afin de faire lever le scellé apposé sur le Data Center de Vodafone Cameroun, par le tribunal de première instance de Douala-Bonaberi le 2 Août 2017. Ceci sans être interposé à l'application de l'avis de recherche émis le 14 Juin 2017, par la Brigade de gendarmerie de Douala à l'endroit des accusés.
Toute cette méprise a eu lieu sans l'aval et l'autorité de son collègue du tribunal de grande instance du Wouri, tout en empiétant sur les compétences matérielles de ce dernier.
Ainsi pour garantir la sécurité de l'État du Cameroun, l'application de l'article 47 (i) du décret N° 95/048 du 08 Mars 1995 portant statut de la magistrature, est lui même relatif à la révocation avec suspension ou déchéance de droit à pension. D'où cette sanction suprême qui n'est pas seulement une exigence morale, mais une nécessité absolue et catégorique. De ce fait, monsieur Ibrahim Zakari demande la révocation immédiate de ce magistrat qui a osé bafouer la loi, et est même allé au travers des règles de déontologie du droit et du civisme.