L'entrepreneuriat africain est de plus en plus dominé par des succursales et des jeunes entreprises en proie à l'évolution. De mieux en mieux classée dans le baromètre économique de l'innovation, la fondation Tony Elumelu reçoit à présent les candidatures pour la promotion 2019 du programme d'entrepreneuriat TEF. Etant à sa 5e année d'existence, elle est en général fondée sur un principe d'autonomisation pour les créateurs d'entreprises en Afrique. De ce fait, pour la nouvelle année, elle reçoit dès à présent les différentes candidatures. Par ailleurs, cette initiative de la fondation Tony Elumelu demeure un engagement de près de 100 millions de dollars.
Cette somme reste évaluée sur une durée de 10 ans. Celle-ci vise notamment à identifier, à former, à faire le monitoring et à financer 10.000 entrepreneurs venus de toute l'Afrique. Dans ses prérogatives de consolidation et d'émulsion systémique, son principal objectif est de pouvoir investir dans différentes entreprises du continent.
La fondation se projette ainsi pour une création notoire d'au moins 1.000.000 de nouveaux emplois dans le continent. Ces statistiques seront en mesure de générer au moins 10 milliards de dollars de revenus par an en Afrique. Depuis sa création il y a 5 ans, ce programme de développement de l'entrepreneuriat TEF a réussi à promouvoir 4470 entrepreneurs. Cette croissance exponentielle a été possible grâce à l’utilisation d’un processus concret de sélection.
Il s'agit de celui de la formation en elle-même, et de celui d’une exécution robuste et justifiable. Celle-ci est mise en place afin de pouvoir créer un impact visible et durable à travers les 54 pays du berceau de l'humanité. Par ailleurs, le délai de dépôts de candidatures est fixé au 1er mars 2019.
Une visibilité nécessaire au programme TEF
Les développeurs, les concepteurs de projets et les entrepreneurs africains dirigeant une majorité de start-up existantes, sont également invités à postuler pour cette nouvelle échéance. La fondation Tony Elumelu cherche à accroître la représentation des zones francophones, arabophones et lusophones.
Ne délaissant nullement la gent féminine, elle s'investit également dans le secteur des femmes entrepreneurs d'Afrique. Ayant pour modèle celui de la philosophie économique de l’Africapitalisme du fondateur, la plateforme s'est dotée de l'une des plus prestigieuses mise en œuvre des programmes d’entrepreneuriat.
Par ailleurs, les différents entrepreneurs sélectionnés durant les 5 ans d'existence du programme ont réellement pu transformer une grande partie de leurs entreprises et de leur environnement. Cela a notamment pu être réalisé après avoir tiré profit des 7 principaux piliers du programme. Il a été notamment question d'obtenir un capital d’amorçage de 5 000 dollars pour les probables projets.
Après cette acquisition, les candidats devaient parallèlement se soumettre à une formation au développement des affaires. En second recours il y a eu la probabilité d'avoir accès à TEFConnect.
Un programme centré sur l'émergence des entrepreneurs économiques de l'Afrique
Dans l'une de ses allocutions, le PDG, Tony O. Elumelu, a affirmé vouloir que l'Afrique puisse être à son tour autonome et productive selon ses investissements et ses nombreuses potentialités : "Selon moi, le secteur privé doit être le moteur principal de la transformation économique de l'Afrique. Toutefois, ce secteur ne peut atteindre son plein potentiel si les entrepreneurs sont laissés à la traîne. Paradoxalement, le programme d'entrepreneuriat TEF demeure de loin le projet le plus percutant de ma vie et représente incontestablement mon engagement à transformer l'Afrique par l'entrepreneuriat jeune".
En outre, les entrepreneurs sélectionnés par la fondation démontrent l’engagement de cette plateforme qui vise à transformer l’économie africaine.
Elle est momentanément citée dans le but de mettre en lumière leur intelligence, leur compétence et leur débrouillardise durant le projet. Cependant, la fondation a récemment reçu les Chefs d'Etats de la France, du Kenya et du Ghana. C'était en effet dans le cadre des séances interactives avec les jeunes entrepreneurs africains dans des domaines bien précis. Les critères de sélection sont le plus souvent de plusieurs ordres et encrés sur un principe de faisabilité et d'autonomie. Ensuite vient celui de l’extensibilité du projet sélectionné et celui d'un potentiel de croissance du produit et du service présenté pour le programme. Le dernier critère est celui lié au potentiel de leadership du demandeur et enfin aux compétences entrepreneuriales de ceux-ci pour l'Afrique.