Que les choses soient claires. Ce n'est pas en tant que journaliste, mais en ma "qualité" de Præsident-maréchal-propagandiste du PrOuT (Parti de rien, revenu de tout), allié morganatique du Pftt (Parti faire un tour), de Gaspard Delanoë (le vrai Delanoë) que je m'exprime ici. Tout doit être fait pour traîner – non dans la fange, qu'ils n'ont pas mérité – mais dans le ruisseau limpide du caniveau d'Hidalgo (maire de Paris par intérim) – tant Jean-Christophe Cambadélis (PS) que Mounir Mahjoubi (La République en marche). Pourquoi ? Parce que ! Je ne m'étendrai pas sur le bilan (désastreux, forcément désastreux, quoique je le présuppose gratuitement) de Jean-Christophe Cambadélis pour la circonscription couvrant cet arrondissement que Londres et New-York (et Shanghai) nous envient.
J'empile un dossier tassé entre le plancher et le plafond d'un triplex contre Mounir Mahjoubi (forcément financé par George Soros via le sultanat d'Oman, mais pour le moment, je ne parviens pas à le prouver : cependant son patronyme métèque interlope est un fort indice). Non, braves électeurs du Dix-neuvième, que le peuple admire et aime, ne vous laissez pas abuser, le salut, la bombance, les libations, c'est Gaspard Delanoë (le vrai) !
Partir, c'est mounir un peu
Oh, le fourbe. Derrière ses petites lunettes qu'il chausse pour faussement avoir l'air sérieux, Mounir Mahjoubi est indubitablement pernicieux. Ouh-hou, méfions-nous, ya un loup. 33 ans, comme le prophète mahométan au même âge (hein, comprenez-moi à demi-mot), Mounir Mahjoubi a alimenté, c'est sûr, les MacronLeaks. C'est bien la preuve de sa pernicieuse fourberie !
Comment ne pas présumer de sa duplicité ! C'est lui qui, chargé de la campagne numérique d'Emmanuel Macron, a grand ouvert les serveurs d'En Marche aux pirates patriotes (pour nous, piètres Français, reste l'appui des vrais laudateurs de la Vraie France de la France Vraie, partout dans le monde). De qui s'agit-il ? D'un poussin de cuisine mâtiné d'un juriste du même acabit qu'un Sarkozy (dont il est hors de doute qu'il ait soudoyé tel et tel, même si je ne peux fournir les noms ou attester de l'authenticité des virements en bitcoins que tout un chacun connaît).
Électrices, électeurs, ne vous fourvoyez pas, ne glissez pas sur la pente savonneuse de la négation et du reniement (de… zut, flemme de poursuivre en dénichant une citation de Péguy ou de Déroulède). Mahjoubi, fondateur du French (deuxième) Bureau, comment ne pas y voir l'emprise de la CIA ? Mahjoubi ? Joubi-jouba, nadie te quiero mas, vade retro Satanas.
Eh bien, même si cet apatride dans l'âme (que n'investit-il point dans les FIP bretons, hein ?), a le culot de se confronter à Gaspard Delanoë (accessoirement à Cambadélis), je salue son engagement. Ô combien de Mounir, dissimulés sous une burqa, munis de ceintures explosives, viennent pulvériser nos filles et nos compagnes ? Voici au moins un Mahjoubi, voué indubitablement (bis) à une cuisante défaite, venu affronter à visage découvert nos Filles et Fils de France. Sors d'ici, Mahjoubi, avec ton sinistre cortège à la solde la phinance globalisante mondialiste (comment pourrait-il en être autrement ? Prouvez donc le contraire, eh ?). Mais je ne peux m'empêcher de vous remercier d'avoir fait cette démarche citoyenne de vous présenter aux suffrages des nôtres, dont vous êtes.
J'ai bien conscience de "pisser dans un violon" tout comme Éric Gold (encore un estranger, car qui dit gold dit finger de la coalition judéo-capitaliste-saoudienne), maire de Saint-Priest-Bramefant. Face aux vents mauvais, l'adversaire que vous êtes reste un allié précieux. Et puis, comme l'énonçait Barnum (no bad publicity), à la loyale, fair play. Avec Gaspard Delanoë, hasta la victoria, siempre! Quoique, au fond, qu'ai-je à reprocher à Cambadélis ? Désolé, le quinquennat Hollande m'a laissé dans ma mouise mais ne l'a pas aggravé. C'est toujours cela de pris. On sait ce qu'il nous reste, pas ce qu'il adviendra. Allez, bonne brise à toutes et tous. À Marie Sara comme à d'autres. Aux mélenchonistes sincères, aux frontistes probes (s'il en est), aux lassaliens (non, ici, pas les frères quatre bras), même aux honnis UDI ou LR, je dis : je reste peinard derrière mon écran, vous prenez des coups. La soupe est certes bonne, parfois, elle est méritée.