Nouvelles Technologies – L’anonymat est de rigueur sur internet désormais, mais la toile accueille de plus en plus de moteurs de recherche spécialisés.
Le bitcoin en vogue
En ce moment, le bitcoin est la crypto monnaie qui intrigue le plus. Largement médiatisée au cours de l’année, et pouvant conduire à l’enrichissement, il est possible d’en acquérir autant pour faire fructifier la bourse que pour acheter sur internet en conservant son anonymat.
L’utilisation de cette monnaie se répand peu à peu. Très utile, c’est la seule monnaie d’échange présente sous la face cachée d’internet.
Elle est inutilisable dans la vie réelle, si ce n’est afin d’être revendue en bourse. On échange alors la monnaie virtuelle contre une réelle devise. Si cela est bien fait, c’est-à-dire au bon moment, il est alors possible de doubler la mise de départ. Le bitcoin permet l'achat sur le darknet, principalement de produits dérivés, illégaux pour la plupart, puisqu'on ne les trouve pas dans un commerce classique.
L'internet parallèle
C’est simple. En réalité, le moteur de recherche le plus connu, Google, ne concentre que 10% des pages existantes sur internet. Les 90% restants se retrouvent sur d’autres plateformes qui sont, eux aussi, des moteurs de recherche à part entière.
Les autres moteurs de recherche
Pour commencer à naviguer sur l’autre internet, il faut d’abord installer un navigateur internet qui garantit l’anonymat. Bien évidemment, nous ne sommes pas responsables de votre utilisation, mais une utilisation illégale démasquée entraîne des poursuites en justice. Le plus connu des navigateurs internet garantissant l’anonymat, et vous permettant de surfer sur un ensemble de sites parallèles est Tor.
En l’installant, vous avez accès à tout le sous-réseau d’internet. Ce sont donc toutes les pages qui ne font pas partie du réseau internet de base et non référencées par un navigateur classique. Vous avez aussi la possibilité d’afficher les fameux 90% restants de pages par le biais d’un accès internet différent. C’est-à-dire en passant par le « deep web ».
Le « deep web » recouvre donc l’ensemble des pages, tandis que Tor vous emmène dans des endroits plus sombres du net.
On retrouve par le biais de ces plateformes, la capacité à trouver un maximum d’informations, mais aussi un flirt avec l’illégalité. Certains moteurs de recherche vous entraînent dans les bas-fonds d’internet, mais ce qu’il est intéressant de savoir, c’est que des moteurs de recherche spécialisés existent. Pour citer quelques exemples :
Grams : un moteur de recherche pour les « markets-place » ou encore pour circuler sur le darknet. La consultation de certains sites est interdite par la loi. Il vaut mieux se renseigner à l’avance.
Tor2web : un moteur de recherche qui permet de consulter les pages accessibles uniquement via Tor.
Il ne permet pas de naviguer dans le darknet.
Enfin, nous trouverons aussi : Gm Search Dark. C’est un outil particulier utilisé par les champions de cyber sécurité. 13 000 sites et plus de 20 000 000 pages y sont enregistrés pour toutes les recherches pointilleuses.
Le point négatif de ses différents moteurs, c’est qu’ils sont très lents. Cela est dû à leur politique de sécurité. Le cryptage de chacune des actions transmises à la machine et la navigation par le biais d’un sous-réseau sont les raisons principales à ce manque de rapidité.
Ces techniques rassemblent de plus en plus d’adeptes, jours après jour. Souvent synonyme d’une utilisation illégale, la face cachée d’internet n’a pas fini de révéler l’ensemble des secrets qu’elle contient.
L’utilisation de cet outil peut tout de même améliorer la nature des informations qui circulent sur le web classique. De ce fait, son utilisation attirerait plus d’internautes.
Est-ce vraiment ce qui est souhaité ?