Jean-Pierre Amougou Belinga, magnat des médias du Cameroun possédant plusieurs entreprises (Groupe l'Anecdote, Vision Finances, Vision Exchange, Issam...), est victime depuis plusieurs jours de parjures par certains agents du dénigrement et de la calomnie. Son nom est trainé dans la boue à tort et à travers. Celui-ci, lors d'une de ses sorties médiatiques, avait alors exprimé son ressenti sans états d'âme, ni filtres. Ce fut telle une catapulte.
Les réseaux sociaux s'y sont immédiatement mêlés pour mettre à nu chacune de ses sorties, en parodiant l'une de ses conversations qui a été momentanément partagée par ces mêmes détracteurs.
Par ailleurs, quelques citoyens camerounais reconnaissant de son engagement envers la société et envers ses concitoyens, ne cessent de saluer le travail titanesque qu'il abat quotidiennement pour améliorer le visage du Cameroun. C'est le cas de Martial Bessala, jeune citoyen politique engagé et membre du RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais). Il a tenu à lui rendre un hommage savamment pensé et recadré dans une mesure de conciliation et d'apaisement. Pour se faire, il a ainsi écrit une lettre ouverte adressée au Patriarche Amougou Belinga ("Zomloa").
Un accent particulier donné à la gestion du patrimoine d'Amougou Belinga
"Il y a des hommes qui marquent leur temps à travers leur être, paraître, avoir et savoir faire. Ces êtres humains ont la spécificité d'incarner et d'inspirer des générations entières pendant et après leur vécu. De ces hommes et femmes, on peut classer le patriarche des patriarches Jean-Pierre Amougou Belinga, PDG du groupe de média et de presse L'Anecdote,Télé Sud, Vision Finance, Vision Exchange, Pura, ISSAM, grand éleveur, agriculteur, entrepreneur dans le BTP, bref grand homme d'affaires camerounais, africain et mondial.
Si l'on devait se référer à son enfance et sa jeunesse pour projeter son avenir, on dira sans risque de se tromper : personne des yeux des vivants ne l'a vu venir. Le destin étant ce qu'il est de particulier le voici, le fils de Nkoum-Adzap, village enfoui dans l'arrondissement de Mbankomo dans le département de la Mefou et Akono, région du Centre Cameroun, hissé au sommet du monde des affaires et devenu le centre de beaucoup d'appétits bons ou mauvais. Le monde est fait ainsi comme lui même sait le préciser les ennemis couvrent les quatre points cardinaux de notre biotope humain. Mais pour lui le plus intrigant c'est que ces derniers se retrouvent encore plus au centre géographique de notre vital environnement.
Une telle gloire ne fait logiquement pas que d'amis ne nous trompons guère. Elle fait naître même beaucoup plus d'ennemis animés par la jalousie pour certains, la haine gratuite pour d'autres, des rancunes non justifiées, des envies non assouvies, des hypocrisies dévoilées, des opportunistes à peine dévoilés... Comment s'y prendre quand dans un océan d'hypocrisie et de mensonge on sait pouvoir être direct, sincère, véridique et franc comme le patriarche Jean-Pierre Amougou Belinga ? Le Pape des médias au Cameroun, comme lui ont fait porté l'un de ses noms de baptême social, refuse de mourir comme un serpent assommé de coups de gourdin. C'est à dire mourir en subissant la fureur et la douleur des coups sans crier de sa situation et sans pouvoir au moins se défendre par le verbe. Quand bien même il a tous les moyens pour le faire. Il laisse parfois parler au travers de ces canaux même ceux qui ne partagent pas ses aspirations politiques, traditionnelles, sociales et éthiques", s'est exprimé ce jeune communicant du RDPC
Le mérite revient sans conteste aux actions du patriarche
"En quelques mots il a pu dire ce qui du fond de son cœur l'intriguait tant. Exaspération teintée de déception de toujours savoir remarquer pendant un moment grand que sa mort est vendue à monnaie de singe parfois par ses plus proches sociologiquement parlant : frères Betis! Son origine ethnique à qui il donne et ne cesse de donner sur tous les plans. Il est déçu ! Il adopte deux attitudes : celle d'un homme très déçu par ses frères et une autre d'une étoile qui a vu celles qui l'ont précédé être éteintes par les leurs plus proches, alors il est obligé de se méfier mais par ce que très courageux, il met en garde les mauvais sorciers qui éteignent les étoiles qui brillent autour d'eux pour demeurer dans l'obscurité et mieux se mouvoir.
Comment tous les Betis peuvent-ils se reconnaître dans cette mise en garde ? Si tu es Beti et n'a jamais attaché son sang pour l'empêcher de prospérer es-tu concerné ? Si tu es Beti et ne sais comment après avoir bénéficié d'un décret présidentiel tu te permets de batailler pour détruire des consanguins pour des affaires de ton épouse peux-tu te reconnaître dans cette histoire? Oui il est déçu ! Je crois que Dieu et les ancêtres l'ont bien compris bien avant nous en le choisissant comme le patriarche des patriarches Mvog Belinga. Cette responsabilité l'oblige à ne point haïr, capituler d'aider et de servir. Cette fois on l'a vraiment choisi pour le Cameroun, l'Afrique et le monde.
Il subira encore mais son pouvoir sera de continuer d'aider. Le Patriarche des patriarches Jean-Pierre Amougou Belinga est très déçu ! Il a redonné de la respectabilité au peuple Beti. La question de raillerie était : 'Donc ils savent aussi faire les affaires en dehors de la politique, de la fonction publique quand ils ne sont carrément pas vendeur de terres?'. Jean-Pierre Amougou Belinga a démontré le contraire ! Voilà son tort certainement ! Il n'y a pas de peuple incapable et un autre capable de vendre et revendre pour être honnête.Que des projets pour ce peuple qui l'expose aujourd'hui à la polémique et à la destruction. Vous qui voulez le détruire dites nous avant tout s'il n'est plus là qui nous présentez vous pour faire notre fierté ? Non il ne mérite pas cet inutile massacre! Avant lui justement il le sait ce même peuple a détruit ses fiertés propres.
Théodore Bella connu sous le pseudo de T-BELA ayant bénéficié des facilités d'affaires au Cameroun et ailleurs aujourd'hui n'a pour héritage que de nom... Triste n'est-ce-pas ? Bref pour ceux qui ne sont pas de cette race de Betis dénoncée et affichée par le Pape des Médias. Je ne parlerai pas de l'Homme de l'année 1995 au Cameroun j'ai nommé James Onobiono qui aujourd'hui passe inaperçu cause de sa résilience justifiée à sauver sa petite vie et celle de sa famille pourtant ses ambitions étaient plus grandes que le Cameroun. Quel gâchis !
Évidement que ceux qui les détruisent assis sur certains avantages sociaux gratuitement offerts par l'État ne pensent pas que demain leurs descendants même de générations lointaines peuvent gagner leurs vies dans des entreprises laissées par ces hommes de richesse et de développement. Jean-Pierre Amougou Belinga peut multiplier des milliardaires comme lui au Cameroun et ailleurs! Un homme qui donne sans compter dans ses résidences en ville comme au village il partage, aide, donne, soutient et accompagne les hommes et femmes qui ont la grâce de l'approcher. C'est du vécu pas du raconté. Nul ne faisant l'unanimité et même la perfection n'étant de ce monde, il n'est pas sans péché. C'est un homme qui a ses défauts,ses manquements,ses insuffisances,ses débordements et ses faiblesses. Mais pour ce qu'il fait pour des millions de personnes au Cameroun et ailleurs aujourd'hui il mérite d'être reconsidéré socialement. Le temps de la haine, aimons le. Le temps de le combattre, prions pour lui et ses affaires. Pourquoi pensons-nous qu'un prophète ne peut être honoré chez lui? Et si nous commencions par le faire démontrer ? L'exception du sauveur protégé chez lui ne confirmera-t-elle pas la règle? Soyez béni Patriarche des patriarches Jean-Pierre Amougou Belinga", a-t-il fini.