La précédente épidémie en France est le h1n1 et date de 2009. Elle a été présente jusqu'en 2010. Le confinement décidé actuellement change la vie des ménages, le bien-être de chacun, les contextes au quotidien, les libertés, et créent de l'anxiété, des peurs, ou bouleversent les finances.

Le confinement, une situation anxiogène

Les divers stades du confinement en France sont engagés. Le pays n'a pas encore atteint le pic de l'épidémie. Les informations télévisées annoncent un allongement sur une durée de six semaines pour cette mesure. Suite à l'annonce présidentielle, les Parisiens ont continué à sortir, ont pratiqué parfois du sport alors que cela ne faisait pas partie de leurs habitudes tels que les médecins ont pu le constater.

D'autres sont partis en exode à la campagne, en famille et les lieux de balade se ferment comme la promenade des Anglais à Nice. Les Parisiens pendant ces jours ensoleillés ont poursuivi leur réunion dans les parcs, sans penser à la réglementation. Tandis que certains sont seuls isolés, d'autres ont préféré la compagnie à deux pendant cette période fébrile. Les migrants, les sans-domicile fixe, et personnes âgées dépendantes sont en centre malgré les craintes de la proximité.

Les réactions individuelles sont variables. Il y a d'une part les efforts requis auprès de tous les citoyens et d'autre part le ressenti des citoyens : peur, stress, bouleversement des finances, lassitude, perte de liberté, tension, vulnérabilité et changement de rythme de vie.

Salariés, migrants, élèves, SDF, et patrons dans l'impasse du confinement

Depuis le début du confinement, les salariés sont en télétravail, au chômage technique ou exercent sur leur lieu de travail.

Des précautions ont été prises : s'éloigner les uns des autres et être dans un bureau seul. Un salarié travaille en moyenne sept heures par jour, hors de son domicile. Les élèves sont à la maison depuis la fermeture des écoles. Les migrants et SDF seraient dirigés vers les centres d'accueil conformément à l'urgence sanitaire.

Les gérants et patrons suivent les recommandations de l'Etat, réduisent leurs équipes, et stoppent parfois temporairement leurs activités.

Le rythme de chacun est modifié. La France fonctionne au ralenti car "rester chez soi" est demandé à chacun. Achever ses dossiers au travail, jouer et être en récréation, croiser ses collègues, courir dehors avec ses copains n'ont plus lieu.

Désormais être à la maison, s'occuper et se croiser est l'adaptation que chacun vit. Pour passer le temps, le jeu de société, la lecture, la sieste, le sport à domicile sont les activités.

Cette rigueur du confinement, certaines villes, capitales ou citoyens ont peiné à l'adopter malgré les risques encourus.

La France a ses droits de l'homme et sa liberté

La France se penserait comme un empire. Elle est dite pays de la liberté, sixième puissance économique, arrogante, râleuse, et en grève. En Chine ou en Italie, le confinement montre une réussite. Néanmoins, cette stabilisation est annoncée progressive et pourrait être fluctuante.

La France voit actuellement ses hospitalisations augmenter au mois de mars 2020.

Comme lors des précédentes épidémie : la grippe, grippe aviaire, grippe espagnole sont imprévisibles et peuvent se propager à nouveau sur des périodes futures.

Dans le cadre du non-respect des mesures de confinement, l'amende de 135 euros pourrait passer à 1500 euros pour les contrevenants déjà avertis et verbalisés. Les élèves font leurs cours à la maison tandis que les contrevenants sont punis, mis au coin en cellule et éduqués au civisme, à vivre en tant qu'animal politique dans une communauté à préserver et protéger, même si le confinement est difficile.